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Les capotes du commercial

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C’est un gars qui est affublé d’un tic très marqué : il cligne des yeux tout le temps. Ce gars est justement en train de postuler pour une place de commercial, et en ce moment, il passe son entretien d’embauche.

L’employeur lui dit :
– C’est incroyable. Vous êtes diplômé des meilleures écoles de commerce, vos recommandations sont excellentes, et votre expérience est sans commune mesure par rapport à celle des autres candidats… Normalement, je vous embaucherais sans réfléchir… Pourtant, je pense qu’un commercial affublé d’un tic comme le vôtre aurait tendance à perdre des clients en leur faisant peur. Je suis désolé, mais je ne peux pas vous embaucher.

Le gars répond :
– Attendez, mon tic disparaît si je prends deux aspirines. Je vous assure !
– Vraiment ? Je ne demande qu’à vous croire. Montrez-moi !

Alors le gars fourre les mains dans ses poches et commence à en sortir toutes sortes de préservatifs des rouges, des bleus, des fluorescents, des parfumés…. Et finalement, il sort une boite d’aspirine. Il l’ouvre, prend deux comprimés, les avale, et hop, les clignements d’yeux cessent peu à peu.

Le patron est assez surpris :
– Eh bien, vous avez dit vrai. Cependant, je suis le patron d’une compagnie respectable, et je n’ai pas l’intention d’employer quelqu’un qui court les filles parmi tout le pays !
– Courir les filles ? Que voulez-vous dire ? Je suis marié et très heureux en ménage !
– Alors comment expliquez-vous tous ces préservatifs ?
– Ah ça ?! Vous êtes déjà entrés dans une pharmacie, en clignant des yeux, et en demandant de l’aspirine ?

La visite de l’asile de fous

Visitant un asile d’aliénés sous la conduite du directeur, une dame se trouve face-à-face avec un homme, agité de tics, qu’elle questionne avec douceur
– Dites-moi, mon ami, êtes-vous bien, ici ? Vous ne vous ennuyez pas trop ? La nourriture est bonne ?

Au bout d’un moment, le directeur se met à rire :
– Savez-vous, demande-t-il, qui vous venez d’interroger ? Ce n’est pas un fou, c’est notre directeur-adjoint.
– Eh bien, dit la dame, vexée, je vous jure qu’à l’avenir je ne me laisserai plus jamais prendre aux apparences.