L’avocat commis d’office

Un affreux bandit s’est vu désigner un avocat d’office. Celui-ci, visiblement borné, est présenté à son client, par le juge d’instruction.
– C’est… ça, mon avocat ? Balbutie l’inculpé.
– Oui.
– Mais, dites-moi, monsieur le juge, s’il venait à mourir, on m’en désignerait un autre ?
– Evidemment.
– Alors est-ce que je pourrais le voir, en tête-à-tête, pendant quelques instants ?