Un président demande un jour à Me Vincent de Moro-Giafferi : – Pour combien de temps en avez-vous, maître ? – Le temps que la cour comprenne. Cela peut être long ! réplique le ténor du barreau de Paris.
Deux malades partagent la même chambre à la clinique. L’un a la jambe dans le plâtre tandis que l’autre a un énorme pansement autour de la gorge. – Moi, dit le premier, je suis aviateur et j’ai volé trop bas… – Eh bien, moi, je suis ténor et j’ai voulu chanter trop haut !
À l’Opéra, on répète une œuvre difficile. Mécontent du jeu du ténor, le metteur en scène lui lance : – Un peu plus de passion, monsieur. Vous n’avez donc jamais aimé, dans votre vie ? – Si. – Alors ? – Si, mais je ne chantais pas en même temps.
« Quand je vois les ténors se plaindre de l’arbitrage, ils n’ont pas de figure. Faut arrêter de dire qu’à la fin les choses se rééquilibrent, ça s’équilibre pas, l’injustice, ça suffit. »