blague tartines

L’économie selon Toto

En classe, la maîtresse donne une définition :
– L’économie, c’est l’art de n’utiliser que le nécessaire. Peux-tu nous citer un exemple ? demande-t-elle à un élève.
– Eh bien, l’économie, c’est mettre deux couches de confiture sur une seule tranche de pain, répond Toto.

La confiture divine

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Tous les matins depuis 30 ans, Sarah se fait une tartine de confiture au petit déjeuner, et tous les matins depuis 30 ans, la tartine tombe à terre côté confiture. Un jour, un miracle, la tartine tombe sur l’autre côté.

Bouleversée, elle se précipite chez le rabbin :
– Rabbi ! Est-ce Dieu qui me fait un signe ?
Ne sachant que penser, le rabbin demande un délai de 3 jours avant de lui répondre.

Il passe la première journée en prières afin que le Très Haut l’assiste dans sa tâche, il s’isole du reste du monde le second en une intense méditation et enfin, il fait appel le troisième jour à quelques-uns de ses plus éminents collègues.

Sarah revient chercher sa réponse le matin du quatrième jour :
– Alors Rabbi ? Dieu m’a-t-il adressé un signe ?
– Non ma fille, répond le vieux rabbin désolé, ce matin-là tu as mis la confiture du mauvais côté.

La blague du pain en plus

C’est papi Rosenberg, un veuf qui a pas loin de 90 ans, et tous les midis, il déjeune dans le même restaurant. Et tous les midis, il demande la soupe du jour qu’il mange avec les deux tartines de pain… Et tous les midis, quand il a finit son repas, il paie et s’en va sans rien dire.

Un jour, le directeur lui demande s’il apprécie la cuisine du restaurant. Le vieux lui répond avec son accent yiddish :
– C’est bon, mais vous pourriez donner plus de pain…

Alors le lendemain, la serveuse reçoit la consigne de fournir au vieux Rosenberg 4 tranches de pain au lieu de deux. Et après le repas, le directeur demande :
– Alors Monsieur Rosenberg, comment était le repas ?

Et le vieux répond :
– C’est bon, mais vous pourriez donner plus de pain…

Du coup, le jour suivant, le directeur dit à la serveuse de donner au vieux 8 tranches de pain au lieu de 4… Mais le vieux dit encore à la fin de son repas :
– C’est bon, mais vous pourriez donner plus de pain !

Ce qui fait que le jour d’après, la serveuse apporte carrément un pain de 600 g avec la soupe du vieux… Mais le vieux dit encore à la fin de son repas :
– C’est bon, mais vous pourriez donner plus de pain !

Cette fois, le directeur qui est devenu complètement obsédé par le vieux Rosenberg et son pain. Alors il va voir son boulanger et il commande spécialement un pain d’un mètre de long. Et lorsque le vieux Rosenberg commande sa soupe, il fait couper le pain en deux dans le sens de la longueur, puis il fait beurrer chacune des deux faces et fait disposer le tout à côté du bol de soupe de papi Rosenberg !

Le directeur laisse le vieux finir sa soupe, puis il vient lui demander comment était le repas aujourd’hui, pensant bien combler tous les désirs du vieux.

Et papi répond :
– C’était bon, comme d’habitude, mais je vois que vous en êtes revenu aux deux tartines de pain…

La blague du petit garçon au bordel

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C’est le père qui se promène avec son fils (6 ans):

– Papa, papa, c’est quoi, ça ?
– Ça, c’est une mercerie.
– Et qu’est-ce qu’on y fait ?
– On y vend des boutons, du tissus,…

– Et ça, qu’est-ce que c’est ?
– Ça, c’est une boucherie.
– Et qu’est-ce qu’on y fait ?
– On vend de la viande.

– Et ça qu’est-ce que c’est (il montre un bordel) ?
– Je te le dirai quand tu seras plus grand !

Alors, intrigué, le petit va casser sa tirelire et se pointe au bordel et sonne.
La maquerelle lui ouvre et le fait vite entrer pour pas qu’on le voie devant cette porte. Elle appelle une de ses filles et lui dit de préparer quelques tartines de Nutella pour le petit garçon

Le père rentre à ce moment-là du travail et s’étonne de ne pas voir son fils à la maison. Il repense à la dernière question de son fils. Il décide d’aller voir. Quand il arrive devant le bordel, il voit son fils ressortir avec un sourire jusqu’aux oreilles.

Le père :
– Tu n’as pas honte, espèce de morveux. Qu’est-ce que t’as fait là-dedans.
Le fils :
– Je m’en suis tapé 5, la 6ème je pouvais plus, alors je l’ai léchée.

Le ventre de notre fille s’arrondit

– Tu as vu, dit un père soupçonneux à sa femme, comme le ventre de notre fille s’arrondit depuis quelques mois.
– En effet.
– Je me demande si, le soir, lorsque nous sommes couchés…
– Que crois-tu qu’elle fait, le soir, lorsque nous sommes couchés ?
– Est-ce qu’elle ne se relèverait pas pour fouiller dans le réfrigérateur et se faire des tartines de beurre ?