blague sur la violence

Des dents comme des billes

Une mère a observé son fils rentrant de l’école et elle lui dit :
– Je suis contente ! J’ai vu que tu t’entendais fort bien avec le fils de nos voisins.
– Ben… fait le gosse évasivement.
– Je t’ai regardé tandis que tu lui donnais des billes.
– Je lui donnais pas des billes. Je lui rendais ses dents.

Un rude hiver

C’est un hiver très rude, qui dure déjà depuis un bon moment. De la neige partout et un bon -15°C. Deux chauffeurs de bus boivent un café en attendant de prendre leur service.
– Alors ? Quoi de neuf mon gars ?
– Oh, y a un truc pas banal qui m’est arrivé la semaine dernière : j’ai reçu les félicitations du maire et une prime de la direction !
– Waow, purée. Et qu’est-ce que t’as fait pour mériter ça ?
– Eh bien, Mardi dernier, juste après ma première tournée de la journée, un clochard complètement bourré est monté dans mon bus et il s’est endormi sur une banquette. Comme personne ne voulait, ou plutôt ne pouvait, s’asseoir à moins de 3 mètres de lui, j’ai profité d’un arrêt où tout le monde était descendu pour prendre le poivrot par le col et le balancer sur le trottoir.
– Quoi ? Tu veux dire que le maire t’a félicité pour avoir jeté un pauvre SDF dans la neige et le froid ?
– Non, non ! Au tour suivant, j’ai vu que mon clochard était toujours allongé sur la neige, là où je l’avais laissé, et comme j’avais peur qu’il meure sur place, j’ai essayé de le déplacer mais j’ai glissé et je me suis retrouvé avec lui dans mon bus… Et là, quelqu’un a cru que j’essayais de sauver le gars et il a passé un coup de fil aux journalistes…

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L’instinct animal

Les perles : les assurances

« Cet imbécile a marché sur la queue de mon chien. C’est une brave bête, mais vous savez ce que c’est quand on se sent agressé, l’instinct reprend le dessus, on montre les dents, on mord. Nous-mêmes, qu’aurions-nous fait à sa place ? »

L’apprenti coiffeur au rasoir

Kévin vient de débuter en apprentissage dans le salon de coiffure de son papa. Pour la première fois, son père a décidé de lui laisser le champ libre pour voir si son fiston a la fibre capillicole.

Un client se présente pour une coupe de cheveux.
« Prenez ce fauteuil, monsieur », lui dit le père ; « et toi Kévin, vient ici : tu vas couper les cheveux de monsieur, c’est une coupe au rasoir ! »

Puis s’adressant au client, il lui dit sur le ton de la confidence :
« Je vous laisse entre les mains de mon fils ; ça sera sa première coupe, mais rassurez-vous, je le surveille ! »
Et là-dessus, Kévin se met au travail.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que jeune apprenti n’est pas à son aise, et au bout d’une minute à peine, d’un geste brusque « SCOUIK », Kévin tranche net l’oreille du client. Ça pisse le sang dans tout le salon, on dirait un cochon qu’on vient de saigner pour faire du boudin, et monsieur Mastard se ramène en courant, affolé et très en colère
« Satané bougre de d’andouille, tu ne peux pas faire attention ? »
Et il va lui filer une énorme gifle, sauf que Kévin a l’habitude et hop, il se baisse… Et c’est le client qui se prend la mandale !
« Mon pauvre monsieur, je suis désolé, ce n’est pas vous que je visais… Bon, je vais vous mettre une compresse sur l’oreille et Kévin va terminer votre coupe, d’accord ? »

Alors Kévin reprend le rasoir et entreprend de terminer sa coupe. Il est encore plus nerveux lorsqu’il attaque l’autre côté… Tellement nerveux et tellement tremblant que d’un geste fou il tranche la deuxième oreille du client ! Ça pisse à nouveau le sang sur le carrelage su salon et une fois de plus, son père se ramène furibard !
« Espèce de petit con, tu te rends compte de ce que tu as fait ? »
Et il va lui recoller une mandale, mais Kévin est un maître de l’esquive et hop, la mandale atterrie sur le nez du client, une fois de plus.
Après s’être excusé une fois de plus auprès du client, et après avoir stoppé l’hémorragie au moyen d’une compresse, le coiffeur dit à son fils :
« Bon, je te laisse une dernière chance. Tu vas terminer la coupe de monsieur… »

Et Kévin, secoué de tremblements, se remet en piste. Il a presque terminé. Il va enfin pouvoir se décontracté lorsque… « ZIP! » D’un seul coup d’un seul, il vient de couper le bout du nez du client.

Alors le client se retient de crier et tire Kévin par la manche pour lui dire à l’oreille :
« Surtout ne dites rien : je crois que votre père n’a rien vu cette fois. »