blague soldat

La pomme du soldat

Un général sort de la caserne en petite tenue de sport. Avisant un troufion qui déguste une pomme assis devant la porte d’entrée, il s’approche et dit :
– Eh bien, on ne salue plus ses supérieurs ?
– Oh, vous allez pas me faire croire que vous êtes sergent, tout de même…
– Je suis bien plus que cela !
– Alors, vous voulez dire que vous êtes capitaine, peut-être…
– Non, je suis plus que capitaine, et si vous continuez comme ça, vous allez avoir des ennuis.
– Alors, c’est quoi que vous êtes ?
– Je suis votre général, soldat !
– Oh ben alors, tenez vite ma pomme que je vous présente les armes !

Toto soldat

Une maman surveille ses gamins qui sont en train de jouer :
– Toto, je t’interdis de te rouler dans la boue de cette façon !
– Mais maman, je joue au soldat !
– Et alors ? Même les soldats obéissent à leur maman…
– Oui, d’accord, mais moi c’est un soldat orphelin.

La peur du soldat

Deux soldats dorment au fond de leur tranchée, lorsqu’un terrible grondement se fait entendre.
– Zut ! s’exclame l’un d’eux. Voilà l’orage !
– Mais non, répond son camarade. C’est un bombardement…
– Tu me rassures : j’ai tellement peur de la foudre !

La blague du grand con

Durant l’Occupation, un soldat allemand vient acheter chaque matin son Pariser Zeitung chez le même marchand de journaux. Et, chaque matin, le kiosquier lui répète :
– Tiens, voilà ton journal, grand con.

À la longue, l’Allemand finit par se poser des questions, et demande à un Français, dans la rue, la signification de « grand con ».
– Ça veut dire « grand conquérant », répond le passant.

Le lendemain, le soldat revient acheter son journal, comme à l’accoutumée.
– Tiens, voilà ton journal, grand con ! lui dit le kiosquier.
– Moi pas grand con ! s’exclame alors le soldat. Moi petit con, seulement. Hitler, lui grand grand con !

Le réveil des prisonniers

Pendant la guerre, un simple soldat téléphone à son colonel qu’il réveille en pleine nuit :
– Qui est à l’appareil ? hurle le colonel.
– Soldat Durand, mon colonel.
– Vous vous rendez compte qu’il est deux heures du matin ?
– Excusez-moi, mon colonel. Mais j’ai fait vingt prisonniers.
– Ah, très bien. Amenez-les-moi immédiatement !
– Je veux bien, mon colonel, mais ils ne veulent pas me laisser partir !