– Ma femme, raconte un homme à un conseiller conjugal, est difficile à motiver, sexuellement. De temps en temps, pour tenter de l’émoustiller un peu, alors qu’après avoir dîné nous sommes installés sur le canapé, pour regarder la télévision, je glisse discrètement un film porno dans le lecteur. Eh bien, à chaque fois qu’elle voit ces hommes et ces femmes tout nus, en train de se léchouiller un peu partout, elle a la même réaction. Elle s’écrie : « Cest sale ! Presque aussi sale que ma vaisselle qui s’accumule dans l’évier ». Là-dessus, elle part s’enfermer dans la cuisine et je ne la revois plus de la soirée.
Un couple à la dérive va consulter un conseiller matrimonial. Le sexologue dit : – Alors, résumez-moi votre problème. Je vous écoute.
A ce moment-là, la femme part dans une longue diatribe sur tous les petits problèmes de leur mariage, pendant que le mec tire la gueule dans son coin, sans broncher.
Comme la femme enfile des kilomètres de phrases sans presque reprendre sa respiration, le conseiller se lève, attrape la femme par les épaules et lui roule une longue pelle de cinéma, avant de la reposer sur sa chaise, interdite et silencieuse.
Puis le sexologue dit au mari : – Voilà ce qu’il faut faire. Deux fois par semaine et vous aurez la paix !
Le mari lui répond : – C’est d’accord. Je pourrais vous l’amener le mardi et le jeudi…
C’est un sexologue qui avait une grande réputation. Il parvenait en effet à rendre les couples les plus blasés sexuellement à nouveau très actifs. Etant d’une probité rare, il s’arrogeait le droit de refuser d’aider un couple si il pensait ne pas pouvoir améliorer leur situation.
Les Martin allèrent donc un jour consulter ce sexologue. Il procéda à un examen physique et psychologique du couple, et en déduit qu’il pourrait améliorer leur vie sexuelle. En conclusion de sa consultation, le sexologue dit aux époux Martin : – En rentrant chez vous, arrêtez-vous dans une épicerie et achetez des raisins et des doughnuts. Une fois chez vous, enlevez vos vêtements ; vous, Madame, asseyez-vous par terre les jambes écartées ; vous, Monsieur, amusez-vous à faire rouler les grains de raisin par terre en visant le sexe de votre femme ; puis, à quatre pattes, vous irez rechercher ce grain de raisin en utilisant seulement votre langue. Quant à vous Madame, vous prendrez ces doughnuts, vous vous éloignerez un peu de votre mari, et vous tâcherez de viser le pénis en érection de votre mari ; puis à quatre pattes, vous irez consommer votre doughnut sur place !
Le couple Martin suivit la méthode à la lettre et réussit ainsi à retrouver une vie sexuelle attrayante. Ils en parlèrent à des amis, les Durand qui en rentrant chez eux se dirent qu’eux aussi feraient bien de consulter le sexologue.
Les Durand allèrent donc consulter le doc, qui leur fit ses test psychologiques et physiques.
Mais cette fois-ci, le sexologue leur dit : – Je suis désolé, mais je ne peux pas vous aider. Je ne vous demanderai donc pas d’argent pour cette consultation. À mon avis, votre vie sexuelle est aussi bonne maintenant qu’elle pourra jamais être. Je ne pourrai pas la rendre plus attrayante…
Les Durand insistèrent alors, en arguant que les Martin avaient été enchantés de ses services, et finalement, le docteur accepta de faire quelque chose pour eux : – D’accord, d’accord. Alors, en rentrant chez vous, arrêtez-vous dans une épicerie et achetez des pommes et une boites de Cheerios…
(les Cheerios sont des céréales pour petit déjeuners en forme de cercle avec un trou au milieu)
C’est un jeune couple trop timide qui va chez le sexologue pour que les choses du sexe leur soient plus familières, et en particulier, pour qu’ils apprennent le langage du corps.
Après la première séances, les jeunes époux rentrent à la maison et s’apprêtent à passer à la pratique :
le mari dit à sa femme : – Bon alors maintenant, quand je voudrai faire l’amour, je te caresserai le sein droit… Et quand je ne voudrai pas faire l’amour, je te caresserai le sein gauche.
Sa femme lui répond : – D’accord. Et moi, comment je procède ?
Le mari répond : – C’est simple : Si tu veux faire l’amour, tu caresses mon pénis une fois… Et si tu ne veux pas faire l’amour, tu le caresses 200 fois.
C’est une jeune femme qui consulte un sexologue parce qu’elle pense qu’elle est frigide. En effet, jusqu’à présent, aucun des hommes qu’elle a rencontré n’est parvenu à lui procurer la jouissance tant espérée. Il faut dire que la dame recherche un homme bien équipé. D’ailleurs, elle demande au sexologue : « Qu’est-ce que ça serait bien si on pouvait juger des possibilités sexuelles d’un homme rien qu’en le regardant… »
Et le sexologue lui répond : « Mais vous le pouvez ! Il vous suffit de regarder la taille de ses pieds. Un homme aux longs pieds et c’est le gage d’une sexualité exacerbée. »
Le jour même, la dame s’en va à la recherche de gars aux grands pieds.
Dans toutes les files d’attente, elle se met à observer la taille des chaussures. Finalement, au supermarché, elle trouve un gars qui attend son tour devant la boucherie. Le gars chausse aussi grand qu’un basketteur, et comme il est plutôt beau gosse, elle se met à le draguer sans vergogne.
Quelques heures plus tard, ils sont en train de dîner chez lui, et un peu plus tard, ils passent au lit. Le lendemain matin, lorsque le gars se réveille, la jeune femme est déjà partie.
Sur la table de nuit, il voit un billet de 100 euros et un petit mot griffonné sur du papier qui dit : « Avec mes compliments. Prenez ces 100 euros et allez vous acheter des chaussures à votre taille. »
