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La blennoragie du décès

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C’est l’histoire d’un vieux couple dont la femme subit le calvaire depuis plusieurs années, tant son époux est un salaud de la pire espèce.

Quand le mari exécrable vient finalement à mourir, la femme téléphone au journal local pour qu’on insère un faire-part nécrologique.

« Vous mettrez tout le baratin habituel », dit-elle au standardiste, puis elle ajoute, « Mais surtout, mettez bien qu’il est mort d’une blennorragie ! »

Le jour des obsèques arrive.

Une vieille amie vient s’informer :
« Dis-moi ma pauvre chérie, j’ai lu le faire-part nécrologique sur le journal… Ils ont dû se tromper ? On y dit que ton mari est mort d’une blennorragie… Tu m’avais pourtant dit qu’il soufrait d’une entérite suraiguë ces derniers temps »

La veuve répond :
« Effectivement, il est bien mort d’une diarrhée que les médecins n’ont pas pu guérir… Mais j’ai pensé que ce serait mieux que les gens se souviennent de lui comme d’un amant volage plutôt que de la grosse merde qu’il a toujours été. »

Le Belge au bord des falaises bretonnes

Ça se passe au bord des falaises de la côte bretonne. Il y a deux types au bord d’une falaise, quand un Belge arrive :
– Bonjour, vous êtes de la région, une fois ?
– Ah bah oui, on est du coin et de temps en temps on vient prendre l’air au bord de la falaise, et puis c’est sympa parce que vous allez voir, on peut faire des trucs très drôles.

Et l’un des types saute carrément dans le vide et, arrivé en bas, il remonte et il revient se poser près de son copain. Alors le Belge :
– Alors ça ! Je rêve, ce n’est pas possible !
– Non, non, vous allez voir, c’est spécifique à la région, vous savez, il y a des courants telluriques, vous pouvez vous jeter en bas tranquillement, le vent vous ramène en haut, vous savez on fait ça depuis que l’on est tout gamin.

Le Belge :
– Non, mais vraiment, ce n’est pas possible !

Alors le deuxième mec saute et effectivement, arrivé en bas, hop ! Il remonte et il se repose sur la falaise. Le Belge :
– Ah ! Je peux essayer, une fois ?
– Mais allez-y, bien sûr !

Et le Belge saute; et évidemment, arrivé en bas, il se fracasse contre les rochers. Et là, il y a un des deux mecs qui dit à l’autre :
– Quand même, pour des anges on est salauds, hein !