C’est toujours un routier belge qui se trouve à l’arrêt cette fois-ci devant un tunnel limité a 4m en hauteur, son camion mesurant 4m10 il ne passe pas. Un deuxième routier passablement énervé parce que ça fait vingt minutes qu’il attend que l’autre s’en aille lui tient à peu près ce langage : – &6#@@ !! -> injure classique
L’autre lui explique que le tunnel est trop bas de 10 cm. Puis celui qui attend répond : – Eh bien c’est simple, tu dégonfles tes pneus et tu passes.
Après une longue compilation le belge rétorque : – C’est pas bête mais c’est en haut que ça ne passe pas, pas en bas !
Ce sont des religieuses qui font un pèlerinage à Lourdes. Elles se déplacent en minibus. Au détour d’un départementale, voilà-t-y pas qu’un des pneus du minibus est à plat.
Les nonnes sortent et pensent changer le pneu, mais aucune d’elle ne sait comment faire. Heureusement, un routier qui passait par là s’arrête, et voyant leur détresse, offre ses services. Les religieuses acceptent de bon coeur. Alors que le routier est en train de soulever le minibus avec le cric, celui-ci glisse, laissant le bus retomber par terre. Alors le routier rugit un : « NOM DE DIEU ! »
La mère supérieure le reprend tout de suite et lui dit : – Ce ne sont pas des manières de parler ainsi. Vous devriez vous surveiller un peu !
Le routier s’excuse : – Je suis désolé ma mère
Et il se remet à la tâche. Mais 30 secondes plus tard, rebelote, le cric glisse à nouveau ! et le routier vocifère : « BORDEL DE DIEU DE COUILLE D’OURS ! »
La mère supérieure intervient : – Si changer la roue de notre minibus vous oblige à proférer de telles vulgarités, nous préférons nous débrouiller seules !
Le routier s’excuse encore : – Oh ma mère, je suis réellement désolé. Mais je suis un peu énervé par ce cric qui ne veut pas rester fixé sur le sol.
La mère supérieure lui propose alors : – Si ce cric glisse à nouveau, retenez-vous de proférer des vulgarités, et dites plutôt quelque chose comme « Mon Dieu, aidez-moi ! »
Et le routier réessaye de soulever le minibus, et le cric glisse à nouveau et il commence à dire « NOM DE… » mais il se corrige et dit « OH MON DIEU AIDEZ-MOI ! »
Et à ce moment là, le minibus se soulève tout seul dans les airs. Et les nonnes regardent leur minibus et crient « NOM DE DIEU ! »