blague ronfleur

Un couple assorti

Deux potes parlent mariage :
– Le mariage est une loterie où l’on ne gagne jamais. Tu en connais, toi, des couples bien assortis ?
– Oui, mes voisins ! Lui ronfle mais sa femme est sourde.

Le ronfleur fou

Dans les couloirs d’un hôpital psychiatrique, un malade accoste le médecin-chef :
– Écoutez, docteur, ce n’est plus possible. Je n’arrive pas à dormir.
– Tiens ! Et pourquoi ?
– Je ronfle tellement fort que je me réveille tout le temps !
– Et alors, que voulez-vous que j’y fasse ?
– Je ne pourrais pas dormir dans la chambre d’à côté ?

Finalement c’était mieux avant…

– Depuis qu’elle est devenue sourde, Léone croit qu’Adrien ne ronfle plus.
– Tout est donc pour le mieux !
– Non, car elle a des soubresauts la nuit.
– Et pour quelle raison ?
– À chaque ronflement d’Adrien, le lit tremble, la déplace, et parfois même, elle tombe lourdement sur le sol…

La blague de la chirurgie du ronflement

C’est une femme qui va voir son médecin :
– Docteur, mon mari ronfle tellement fort que je ne dors pas de la nuit, et cela fait des années que ça dure…
– C’est si dur à supporter ?
– Ben, vous ne pouvez imaginer. On dirait un Boeing, si vous voyez ce que je veux dire, ou alors parfois un 30 tonnes à fond la caisse…
– Amenez-le moi demain, on verra ce qu’on peut faire.

Le lendemain, le médecin examine le patient.
– Moi, je ne vois rien. Tout semble normal. Il vaudrait mieux s’adresser à un spécialiste… Je vous fais une lettre.

Quelques mois plus tard, le rendez-vous arrive. Le spécialiste examine le mari :
– Bien sûr ! Je vois ce qu’il faut faire : ablation de la luette, et puis ensuite, tout ira bien. Vous pourrez dormir tranquille, madame !

On ablationne, tout va bien. Quelques semaines plus tard :
– Ecoutez votre opération, elle a servi à rien, mon mari ronfle toujours comme un Boeing, ou un 30 tonnes à fond la caisse. Ça ne peut plus durer, je vais craaaquer !
– Amenez le moi !

Cette fois, le spécialiste n’y va pas par quatre scalpels :
– Bon, on va racler toute la gorge au laser, jusqu’aux poumons. A mon sens, il n’y aura plus de problèmes. Allez ! On y va de suite, juste un petit wisky pour la route….

Le patient clamse sur la table, et le spécialiste est bien ennuyé quand même…
– Ça ne fait rien, docteur. Vous avez quand même réussi. Je vais enfin dormir tranquille. C’était le but non ? Bon, je l’incinère et on n’en parle plus…
– Mais…
– Pas de mais… On était marié depuis tellement longtemps que vous savez, il était plus un inconvénient qu’autre chose, surtout depuis qu’il avait acheté la maison…

Quelques semaines plus tard :
– Docteur, je n’y comprends plus rien ! vous l’avez bien zigouillé sur la table d’opération ?
– Je ne dirais pas les choses comme ça, mais oui !
– Ben alors, c’est son fantôme ! Toutes les nuits, ça ronfle comme un Boeing, ou un 30 tonnes à fond la caisse… Je ne dors pas plus !
– Bon, là, je n’y comprends plus rien ! Il vaut mieux que je vienne chez vous pour vous examiner. Vous habitez où ?
– Vous voyez Roissy ? Bon, vous prenez l’autoroute, et entre l’aéroport et l’autoroute, la petite maison, c’est chez moi…

Echappée belle au mariage

– Je l’ai échappé belle, raconte une jeune secrétaire à une collègue de bureau. Tu connais ce grand blond du service Documentation, avec une boucle à l’oreille gauche ?
– Ah ! Oui ! Il est sympa.
– C’est bien ce que je pensais, au point que je nous imaginais déjà mariés, tous les deux. Bref, on est sorti plusieurs fois ensemble. Il m’a embrassée et pelotée gentiment. Et puis, hier, comme il pleuvait, on est allé au cinéma. Et alors… terrible !
– Il n’a pas essayé de te violer, au cinéma, tout de même ?
– Pire que cela. On jouait un film de Marguerite Duras. Ça n’a pas raté : il s’est endormi. Et c’est là que je me suis rendu compte que j’étais passée à deux doigts de la catastrophe : j’ai failli partager pour la vie mon lit avec un ronfleur !