blague Rolls-Royce

Le prêt sur gage de l’homme d’affaire juif

Avant de partir en voyage pour affaires, un business de confession juive se rend en Rolls-Royce jusqu’à une banque new yorkaise et demande un prêt court terme immédiat de 5000 $.

Le guichetier lui demande des garanties pour lui accorder le prêt. Alors l’homme d’affaire lui donne les clefs de Rolls en gage.

La Rolls est alors conduite dans le parking souterrain de la banque, et l’homme d’affaire empoche ses 5000 $.

Deux semaines plus tard, le gars rentre d’Europe, demande au guichetier à rembourser son prêt et à récupérer sa Rolls. Le guichetier lui répond :
– Ça fera 5000 $ de capital et 15.4 $ d’intérêts.

Le gars prend son chéquier, remplit le montant, donne le chèque et s’en va avec ses clefs. A ce moment là, le guichetier l’interpelle :
– Monsieur, monsieur, avant que vous ne partiez, pouvez-vous m’expliquer une petite chose ? J’ai découvert pendant que vous étiez parti que vous êtes milliardaire. Comment se fait-il que vous ayez eu besoin d’emprunter 5000 $ ?

Et le gars répond avec un sourire:
– Et comment trouver un parking gardé pour garer ma Rolls pendant 15 jours et ne payer que 15.4 $ ?

Le grand malheur du gagnant écossais

Un Écossais se désole :
– Vous ne savez pas, raconte-t-il, le malheur qui m’est arrivé ? Figurez-vous que j’avais trouvé par terre un billet pour une tombola. Quand celle-ci a été tirée, je consulte la liste des gagnants et je constate que je remporte le premier lot : une superbe Rolls-Royce ?
– Et alors ? Où est le malheur là-dedans ?
– Les organisateurs n’avaient même pas fait le plein de leur voiture. Il m’a fallu acheter dix litres d’essence pour la ramener chez moi.

Les riches industriels et les Rolls-Royce

Deux très riches industriels se promènent au salon de l’Automobile et s’arrêtent devant le stand des Rolls-Royce :
– Tu as vu celle-là ? Pas mal, non ?
– Oui, mais elle serait mieux en platine !
– Tu as raison, avec Jacuzzi, télévision et sièges en vison !
– Eh bien, puisque l’on est d’accord, commandons-la en deux exemplaires !

Au moment de payer la facture, le premier dit au deuxième qui sortait déjà son carnet de chèques :
– Laisse, c’est pour moi, tu as déjà payé les deux cafés tout à l’heure…