blague rivière

Les pêcheurs québécois

Deux Québécois sont entrain de pêcher au bord d’une rivière. Il fait très froid et leur pêche n’est guère fructueuse mais les deux hommes se réconfortent à grandes rasades de remontant.

Brusquement, ils aperçoivent sur l’autre rive, deux autres pêcheurs – des Canadiens de langue anglaise ceux-là – qui sortent de l’eau poisson sur poisson.
– Tabernacle ! s’écrie l’un des Québécois. Tu as vu ça !
– Laisse faire, ce sont des tricheurs…
– Ah bon ? A quoi tu vois ça, toi ?
– Ils ont fait un trou dans la glace !

La blague du vieux seau

Il fait très chaud. Un homme se promène le long d’une rivière et décide pour se rafraîchir, de faire un plongeon. N’ayant pas de maillot de bain, mais le lieu étant discret, il se déshabille, pose ses vêtements au pied d’un arbre et plonge.

Soudain une jeune femme s’installe, à côté de ses vêtements et se met à lire. Stressé, il cherche dans le fond de la rivière une protection possible, trouve un vieux seau, se protège et rapidement sort de l’eau.

S’approchant de la jeune femme et ayant repris confiance en lui, il lui demande le sujet de sa lecture.
– C’est un ouvrage sur la transmission de pensée.
– Et vous croyez que cela peut exister ?
– Bien sûr, je suis persuadée que vous pensez en ce moment que votre seau a un fond.

La pêche au cirage

Un pêcheur, au bord de la rivière, râle tout seul :
– C’est bien la dernière fois que je mets des asticots dans une boîte à cirage, c’est quand même la troisième chaussure que j’attrape !

Le badge du poisson

Un pêcheur sert à ses amis un poisson qu’il assure avoir pris lui- même dans la rivière voisine. Un des convives examine un petit morceau de métal sur lequel il a failli se casser une dent :
– Il a dû, dit-il y avoir une réception chez les poissons du coin, j’ai trouvé le badge que portait le tien, avec son nom marqué dessus : « Norvège ».

La blonde de la rivière

Une blonde se balade au bord d’une rivière. Elle aperçoit une copine, blonde aussi, de l’autre côté de la rive. Elle veut la rejoindre et l’appelle :
– Eh ! Comment faut faire pour passer de l’autre côté de la rivière ?
– Ben t’es conne, t’es déjà de l’autre côté !