5 novembre 2015 – Les impôts locaux remboursés en voyage organisé !
Le gouvernement annonce, que les retraités les plus modestes qui sont soumis brutalement aux impôts locaux seront remboursés et resteront exonérés en 2016. Justice ou électoralisme ? … Question bête pardon ! (Caricature Michel Sapin – Dessin du 5 novembre 2015)
Un belge (riche propriétaire terrien) ayant besoin d’une tronçonneuse va chez un vendeur en motoculture.
Le vendeur, sûr de lui, garantit à notre homme l’abattage de 6 arbres à l’heure grâce à cette tronçonneuse révolutionnaire, lame en titane, chaîne en acier trempé, double arbre à cames en tête, pot chromé, etc, etc … Satisfait ou remboursé !
Dix jours plus tard, un homme rouge de colère revient voir le vendeur en l’enjoignant de rembourser IMMÉDIATEMENT cette %#$%@$#@$% de tronçonneuse. – Comment !? s’exclame le vendeur, vous n’êtes pas satisfait ? – De la camelote je te dis, répond le belge. Je me suis ruiné la santé pour abattre UN arbre en une journée !. Rembourse-moi comme promis ! – Un arbre ? En un jour ? Ce n’est pas possible ! dit le vendeur, celle-ci doit avoir un défaut ! Laissez-moi voir ça…
À ces mots le vendeur tire sur le lanceur et la tronçonneuse répond immédiatement par un rugissement tout à fait impressionnant.
Le belge : – Attendez, une fois, c’est quoi ce bruit ?
« Depuis l’accident, la culotte est plus mettable ; elle est à votre disposition, je voudrais savoir qui c’est qui va la payer. Je l’ai dit à l’agent mais sur son papier il a pas mis de culotte et il faudrait que vous lui en fassiez mettre une. »
On est à Vaison-la-Romaine. Trois commerçants en confection font visiter à leur confrère parisien du Sentier leur centre commercial, juste reconstruit depuis la grande inondation.
Le premier : – Je devais refaire mon agencement quand l’inondation est arrivée. Grâce à Dieu, l’assurance a payé les dégâts et j’ai rénové avec l’indemnité.
Le second : – J’allais commencer mes soldes quand l’inondation est arrivée. Grâce à Dieu, l’assurance a tout couvert et j’ai bien démarré la nouvelle saison.
Le troisième : – J’étais en train de déballer la nouvelle collection quand l’inondation est arrivée. Grâce à Dieu, avec l’assurance, c’est comme si j’avais tout vendu le premier jour.
Le confrère parisien : – L’inondation, vous l’aviez commandée à qui ?