blague religieuse

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La blague des tickets de métro

C’est un type qui rentre dans une pharmacie à Neuilly et qui dit :
– Bonjour, je voudrais des préservatifs, s’il vous plaît.

La pharmacienne lui dit à voix basse:
– Excusez-moi, monsieur, mais vu notre clientèle assez conservatrice, nous employons un code pour désigner certains produits. En l’occurrence, celui que vous demandez est nommé « ticket de métro ».

A ce moment, une bonne sœur entre dans la pharmacie et capte la conversation en route…

Et le type reprend :
– Bon alors s’il vous plaît je voudrais un ticket de métro.
La pharmacienne lui donne un petit sachet et le type s’en va.

La bonne sœur demande de l’aspirine et s’en va elle aussi. Puis elle descend dans le métro et voit qu’il y a beaucoup de monde au guichet. Comme elle n’a pas de ticket, elle se dit « tiens, vu qu’ils en vendent a la pharmacie, je vais y aller, au moins il y a personne ». Elle y retourne et demande :
– Rebonjour mademoiselle, je voudrais un ticket de métro svp.
– Enfin, ma sœur, pas à vous, je n’oserai pas…
– Mais si, vous me rendriez un grand service, car si vous saviez la queue qui m’attend en bas…

Les religieuses, ça m’excite !

Deux vieux bonshommes, voisins et veufs tous les deux, ont l’habitude de sortir une chaise et de s’installer au soleil, sur le trottoir devant chez eux.

Ils papotent, et dans la conversation, l’un dit à autre :
– Dis donc, ça t’arrive encore d’être excité… je veux dire… sexuellement ?
– Oh ben oui.
– Et qu’est-ce que tu fais dans ces cas là ?
– Souvent, je m’enfile une bonne petite religieuse…

Après une bonne minute de pause, l’autre demande :
– Et qui est-ce qui te conduit jusqu’au couvent ?

La blague des frites sexuelles

Un prêtre fait visiter le monde à une jeune et pure jeune fille avant qu’elle n’entre au couvent. Soudain, ils voient deux chiens qui font l’amour :
– Que font-ils mon père ?
– Ils font des frites ma sœur…
Et la réponse semble suffire à la jeune fille.

Puis ils voient une vache et un taureau qui font l’amour :
– Que font-ils mon père ?
– Ils font des frites ma sœur…
Et la là encore, la réponse semble suffire à la jeune fille.

Enfin ils rentrent au couvent. Trois jours plus tard, la Mère Supérieure aperçoit la jeune nonne qui rentre au couvent après en avoir escaladé le mur :
– Où étiez-vous, ma sœur, vous n’étiez pas présente à l’office du soir ?
– Je faisais des frites.
– Vraiment, vous faisiez des frites à 10 heures du soir ? En avez-vous une preuve ?
– Pour sûr ma mère ! J’ai encore la végétaline entre les jambes !