blague quantité

Le préservatif spécial sodomie

C’est un type qui entre dans une pharmacie du 16ème arrondissement et demande très fort :
– Une boîte de capotes ! C’est pour baiser ce soir !

Le pharmacien le prend à part et lui dit :
– Ici, c’est une pharmacie renommée, fréquentée par des gens bien : on ne dit pas les choses comme vous venez de les dire, mais on utilise plus volontiers les métaphores. Par exemple, si vous prévoyez une soirée à deux, demandez-nous « une petite Clio », si vous êtes plus nombreux « Une Renault Espace », vous avez compris ? Alors que voulez vous ?

Le gars répond d’une voix franche et forte :
– Je voudrais un Jeep Grand Cherokee, parce que ce soir, je vais patiner dans la merde !

La blague du pain en plus

C’est papi Rosenberg, un veuf qui a pas loin de 90 ans, et tous les midis, il déjeune dans le même restaurant. Et tous les midis, il demande la soupe du jour qu’il mange avec les deux tartines de pain… Et tous les midis, quand il a finit son repas, il paie et s’en va sans rien dire.

Un jour, le directeur lui demande s’il apprécie la cuisine du restaurant. Le vieux lui répond avec son accent yiddish :
– C’est bon, mais vous pourriez donner plus de pain…

Alors le lendemain, la serveuse reçoit la consigne de fournir au vieux Rosenberg 4 tranches de pain au lieu de deux. Et après le repas, le directeur demande :
– Alors Monsieur Rosenberg, comment était le repas ?

Et le vieux répond :
– C’est bon, mais vous pourriez donner plus de pain…

Du coup, le jour suivant, le directeur dit à la serveuse de donner au vieux 8 tranches de pain au lieu de 4… Mais le vieux dit encore à la fin de son repas :
– C’est bon, mais vous pourriez donner plus de pain !

Ce qui fait que le jour d’après, la serveuse apporte carrément un pain de 600 g avec la soupe du vieux… Mais le vieux dit encore à la fin de son repas :
– C’est bon, mais vous pourriez donner plus de pain !

Cette fois, le directeur qui est devenu complètement obsédé par le vieux Rosenberg et son pain. Alors il va voir son boulanger et il commande spécialement un pain d’un mètre de long. Et lorsque le vieux Rosenberg commande sa soupe, il fait couper le pain en deux dans le sens de la longueur, puis il fait beurrer chacune des deux faces et fait disposer le tout à côté du bol de soupe de papi Rosenberg !

Le directeur laisse le vieux finir sa soupe, puis il vient lui demander comment était le repas aujourd’hui, pensant bien combler tous les désirs du vieux.

Et papi répond :
– C’était bon, comme d’habitude, mais je vois que vous en êtes revenu aux deux tartines de pain…