blague punition
Les canards célestes

Trois hommes meurent dans un accident de voiture et arrivent au ciel. Saint Pierre les accueille et leur dit :
– Ici, au Paradis, il n’y a qu’une seule règle : ne pas écraser les petits canards !
Les hommes entrent dans le paradis et il y en a partout… des petits canards… Il est pratiquement impossible de les éviter et malgré toute la prudence de nos trois hommes, l’un d’entre eux finit malgré tout par écraser un petit canard…
Aussitôt Saint Pierre arrive avec la femme la plus moche que l’homme ait jamais vue ! Il les attache ensemble et lui dit :
– Pour ta punition tu resteras attaché à elle pour l’éternité !
Le lendemain, le deuxième homme écrase également un petit canard… Saint Pierre arrive à nouveau avec une femme tout aussi moche que la précédente et le condamne à la même punition que son copain de la veille !
Fort de ces expériences, le troisième homme redouble de prudence et arrive à éviter les canards pendant plusieurs mois.
Un beau jour il voit débarquer Saint Pierre avec une véritable beauté, la plus belle femme qu’il ait jamais vue : jeune, grande et mince, un physique de rêve, avec de beaux longs cils et des yeux lumineux… Saint Pierre les attache l’un à l’autre et s’en va sans mot dire.
Notre homme est plus que surpris et dit à la femme :
– Je me demande ce que j’ai bien pu faire pour mériter ça !?!
La femme lui répond :
– Vous, je ne sais pas, mais moi je viens d’écraser un canard !
Trois légionnaires dans le harem

Trois légionnaires, égarés dans les sables africains, ont été capturés par les gardes d’un sultan arabe, au moment où ils venaient de s’introduire dans son harem. On les emmène, enchaînés, au pied du trône, et le sultan leur déclare avec un sourire mauvais :
– Quiconque a tenté de séduire ou d’approcher mes femmes doit souffrir par où il a pêché… Cependant, vous aurez le choix du supplice qui vous privera de vos attributs virils. Vous, le premier, que faisiez-vous dans l’existence ?
– J’étais bûcheron, fait le gars, piteusement.
– Alors, on vous la hachera ! Et vous, le second ?
– J’étais pompier…
– Alors, on va vous la brûler !
À ce moment, le troisième légionnaire se met à sauter de joie et il crie :
– Et moi, j’étais marchand de sucettes, marchand de sucettes !
Les œillères newyorkaises
Les perles : la justice
Loi de l’état de New York aux États-Unis :
Gare à vous Messieurs, à New York, si vous croisez une femme splendide vous n’avez pas le droit de vous retourner sur elle et de la regarder avec insistance ! Si vous manquez de discrétion, vous serez évidemment punit : « Les contrevenants sont obligés de porter des œillères ». Et toc !