blague pudibonderie

Le danger des blagues de cul

Une maîtresse de maison raconte à une de ses amies :
– Avant hier soir, j’ai organisé une grande réception chez moi. Figurez-vous que j’ai été obligée de renvoyer l’un de mes invités !
– Qu’avait-il donc fait ?
– Il n’arrêtait pas de raconter des blagues olé, olé, vraiment limites, alors je n’ai pas hésité une seconde, je l’ai fichu dehors !
– Vous avez bien fait ! Et comment s’est terminée la soirée ?
– Mal ! Tous les autres invités l’ont suivi pour entendre la fin de l’histoire !

La pédagogie de la pédophilie

En tant que directeur de la communication, on m’a demandé de préparer un mémo passant en revue les programmes de formation et le matériel de notre société. Dans le texte du mémo, une des phrases mentionnait « l’approche pédagogique » utilisée dans l’un des manuels de formation.

Le jour suivant, j’envoyai le mémo au comité exécutif. Je fus aussitôt appelé dans le bureau du Directeur des Ressources Humaines et on m’annonça que la « executive VP » voulait me voir hors des murs avant le déjeuner. Quand je demandai pourquoi , on me dit qu’elle ne pouvait pas supporter les « pervers » (pédophiles ?) dans sa société.

Finalement, il me montra la copie de mon mémo où on voyait sa demande de me virer, avec le mot « pédagogique » entouré de rouge. Le Directeur des Ressources Humaines fût plutôt raisonnable, et dès qu’il eut regardé la définition dans son dictionnaire et fait une copie pour l’envoyer à mon chef, il me dit de ne pas m’en faire. Il allait s’occuper de moi.

Deux jours plus tard, un mémo adressé à toute l’équipe fut envoyé, nous demandant que les mots que l’on ne pourrait pas trouver dans le journal local du dimanche ne devaient pas être utilisés dans les mémos internes.

Un mois plus tard, je donnai ma démission. En règle avec la politique de la société, je créai ma lettre de démission en collant des mots découpés dans le journal du dimanche.

(Taco Bell Corporation)