C’est une femme qui a des problèmes existentiels, alors elle va voir un psychanalyste et lui explique :
– Oh docteur, vous savez, ça va pas. J’ai des phobies. Ça doit venir de mon enfance…
– Eh bien, racontez-moi ça !
– Tenez, un exemple. Ça doit venir de quand j’étais petite, mais dès que j’ai peur, c’est un réflexe, il faut que je suce quelque chose.
A ce moment-là le psychanalyste ouvre sa braguette et lui dit :
– Oh ! Une souris !
Un psychanalyste reçoit la visite d’un gros homme qui lui dit :
– Je souffre d’un dédoublement de la personnalité et je voudrais bien que vous m’en guérissiez.
– Combien pesez-vous ? interroge le psychanalyste.
– 140 kilos.
– Alors, pour que l’analyse que nous allons entreprendre ait une chance d’aboutir, il faut qu’en même temps, par un régime sévère, vous perdiez 70 kilos.
Au cours d’un congrès, un psychiatre dit à un de ses collègues :
– Vous avez l’air soucieux.
– Il y a de quoi, quand on pense que nous perdrions la quasi-totalité de nos patients si ceux-ci avaient seulement l’idée de faire trois choses : s’occuper de leurs propres affaires, oublier le passé et utiliser intelligemment leurs loisirs.
Un gars et sa femme sont reçus en consultation par un psy :
– Bonjour, que puis-je faire pour vous ?
– Eh bien voilà, dit le gars en hochant la tête vers sa femme, ça fait 8 mois que me femme se prend pour une tondeuse à gazon !
– Ah oui ? Et comment se fait-il que vous ne veniez consulter que maintenant ?
– C’est que, mon voisin vient seulement de me la rendre.
