blague prout

La blague des pets de vieilles

Une gentille vieille dame va voir son docteur :
– Docteur, j’ai un petit problème avec mes gaz. Je dois pourtant dire que ça ne me dérange pas tant que ça. Ils ne sentent jamais et ils sont toujours silencieux. Rien que pour dire, j’ai pété au moins dix fois depuis que je suis dans votre bureau et je suis certaine que vous vous en êtes jamais aperçu parce qu’ils sont silencieux et qu’ils ne sentent pas.
– Je vois, dit le Docteur… Prenez ces pilules et revenez me voir la semaine prochaine.

La semaine suivante, la vieille dame revient.
– Je ne sais pas trop ce que vous m’avez donné… Mes gaz restent silencieux, mais ils puent terriblement.
– Très bien, dit le docteur. Maintenant que nous avons réglé le problème des sinus, travaillons sur votre ouïe…

La blague des types de péteurs

Le péteur aimable :
Apprécie les pets des autres. Goûte particulièrement leur odeur.

Le péteur ambitieux :
Souhaite que ses pets soient plus bruyants et plus odorants que ceux de ses voisins.

Le péteur asocial :
S’excuse et se retire pour péter. Prend son après-midi de congés lorsqu’il mange du cassoulet.

Le péteur brute :
Pète plus fort qu’aucun autre.

Le péteur déçu :
Fait des pets qui ne sentent pas.

Le péteur économe :
A toujours plusieurs pets en réserve. Ne les distille qu’en cas d’absolue nécessité.

Le péteur embarrassé :
A le visage tellement ravagé que le pet ne sait pas de quel côté aller.

Le péteur finaud :
Accompagne son pet d’un rire sonore et d’une bonne claque sur le dos de son voisin.

Le péteur geek :
S’insère un filtre à charbon dans le caleçon avec silencieux incorporé pour être dans l’air du temps.

Le péteur gêné :
Pète silencieusement, souffle en mettant sa bouche en coin pour chasser l’odeur. Rougit tel une pivoine.

Le péteur goujat :
Admet que c’était la maîtresse de maison qui a pété.

Le péteur honnête :
Admet avoir pété mais fournit une raison médicale.

Le péteur hyperactif :
Saute en air, pète trois fois et claque ses talons simultanément.

Le péteur hypersensible :
Pète et se met à pleurer (surtout s’il a mangé beaucoup d’oignons).

Le péteur idiot :
Pète tout en faisant des gloussements bébêtes.

Le péteur ignorant :
Est persuadé que ses pets ne puent pas.

Le péteur insensé :
Retient ses pets pendant des heures. A toujours la nausée et le teint verdâtre en fin de journée.

Le péteur insolent :
Pète effrontément, se tape les mains sur les cuisses en riant.

Le péteur intellectuel :
Pète au moindre effort physique. Fait des statistiques avec ses pets de la journée.

Le péteur joueur :
Pète dans sa baignoire et filme la remontée des bulles au caméscope.

Le péteur malheureux :
Essaie de péter – n’y parvient pas – Au lieu de cela, fait caca dans sa culotte.

Le péteur musicien 1 :
Ténor ou baryton – Pète d’un son pur comme l’eau claire – sent comme la merde, tonne comme l’enfer.

Le péteur musicien 2 :
Suit des règles alimentaires très strictes pour entraîner sa voix plusieurs fois par jour. Invite parfois ses collègues à faire un « bœuf ».

Le péteur négligé :
Pète, pétille et pétronne – finit par en pourrir son caleçon.

Le péteur nerveux :
S’arrête au beau au milieu d’un pet.

Le péteur orgueilleux :
Prend son rectum pour une parfumerie. Trouve ses pets très raffinés.

Le péteur prévoyant :
S’excuse avant de péter.

Le péteur professionnel :
Est capable d’après l’odeur des pets de ses voisins de dire ce qu’ils ont mangé.

Le péteur rouspéteur :
Bougonne quand les dames pètent.

Le péteur sadique :
Pète dans son lit et chasse l’air en secouant les couvertures vers sa compagne ou compagnon.

Le péteur sage :
Pète et demande « Mais qui diable a fait caca ? »

Le péteur scientifique :
Pète régulièrement mais s’inquiète sur l’augmentation du trou de la couche d’ozone.

Le péteur sournois :
Pète et accuse le chien ou le chat.

Le péteur sympa :
Saute devant vous pour péter et vous en faire profiter.

Le péteur vaniteux :
Pense qu’il est celui qui pétera le plus fort – et fait de multiples essais. Aime l’odeur de ses pets.

La blague du prout féminin

Un petit garçon et une petite fille, âgés tous deux de cinq ans, jouent dans le bac à sable d’un terrain de jeu.

Sans prévenir, le petit garçon lâche un pet bien explosif, entraînant une projection de sable entre ses jambes.

La petite fille remarque l’effet produit et couine de rire :
– Comment tu fais ça, demande-t-elle.
– Facile, rigole le petit garçon, J’ai juste fait un prout.
– Est-ce que je peux essayer moi aussi ? demande-t-elle.
– Bien sûr, dit-il, n’importe qui peut le faire.

Et c’est comme ça que la petite fille commence à se concentrer, se crisper, grogner, jusqu’à ce que, soudainement, une explosion terrible fasse s’abattre en même temps les quatre côtés du bac à sable, envoyant tout le sable se répandre au dehors.

Le petit garçon sous l’effet de l’explosion roule en arrière et retombe les quatre fers en l’air.

Quand il se remet debout, il voit que sa petite copine de jeu est allongée sur le dos, les jambes écartées, sans connaissance. Alors, il s’approche d’elle et soulève prudemment sa petite jupe… et là il s’écrie :
– C’est bien ce que je pensais : double échappement !