blague préjugés

Les rabbins et la prime à la conversion

Deux rabbins se promenaient sur un trottoir d’une ville américaine.

Devant une église, ils voient un panonceau disant :
« Venez vous convertir. On vous paie 2 000 dollars pour une conversion au catholicisme. »

Le premier rabbin est vraiment outré de voir qu’une religion puisse être tombée aussi bas. Il fronce les sourcils et dit au second rabbin qu’il va se rendre compte par lui-même en entrant dans l’église. Il demande au second rabbin d’attendre son retour dehors.

20 minutes plus tard, le premier rabbin sort de l’église. Le second lui demande :
– Alors ? Comment c’est à l’intérieur ? C’est vrai, ils donnent vraiment 2 000 dollars pour se convertir ?

Et le premier rabbin lui répond en le regardant de travers :
– 2 000 dollars ?… Vous les juifs, ne pensez vraiment qu’à l’argent, hein.

C’est toujours une femme au volant !

Un monsieur est furieux d’avoir dû s’arrêter pile pour éviter la voiture qui le précédait. Il s’écrie :
– Pas la peine de chercher si c’est une femme qui conduit !

Or, à sa grande surprise, il s’aperçoit qu’en fait c’est un homme. Aussitôt, il trouve l’explication :
– C’est sûrement sa mère qui lui a appris à conduire !

Le chinois qui voulais une boîte de Canigou

Un chinois entre dans une petite épicerie de quartier. Il s’adresse à la patronne derrière son comptoir:
– Bonjoul Madame. Je voudlais une boite de Canigou…
– Je vous reconnais, vous êtes du restaurant chinois en face. Qu’est-ce qui me prouve que vous n’allez pas filer le Canigou à vos clients ?! Apportez-moi le chien et je vous vends la boite !

Le chinois, bien gentil, ne se démonte pas et revient cinq minutes plus tard avec son petit chien sous le bras. Alors la mégère lui donne sa boite de Canigou.

Mais le chinois dit :
– J’oubliais qu’il me faut aussi une boite de Ron-Ron…

La mégère, toujours aussi fun lui demande encore d’amener son chat, sans ça, pas de Ron-Ron.

Le chinois, d’un calme Olympien repart chez lui et revient tout de suite avec son chat, ce qui lui permet d’obtenir la boite de Ron-Ron. Et puis il rentre chez lui, dans son restau, en face. Cinq minutes plus tard, voilà le chinois de retour dans l’épicerie. Cette fois-ci, il tient un bol et deux baguettes dans ses mains qu’il tend à l’épicière en lui disant :
– C’est pour vous madame.

L’épicière commence à goûter :
– C’est gentil, mais attendez… Votre truc ça me rappelle quelque chose de chez nous… Hmmm… Ouèèk mais c’est de la merde !

Et le chinois répond :
– Oui, je voudlais des rouleaux de papier-cul !