blague préjugé

Y‘a bon racisme, hein ?

Dans un banquet qui réunit des officiels français et africains, un jeune diplomate de l’Hexagone dit, pour meubler la conversation, à son collègue noir :
– Y’a bon miam-miam, hein ?

Pas de réaction. À la fin du repas, ce diplomate noir se lève pour prendre la parole et fait un discours époustouflant dans un français remarquable.

Quand il a terminé, il se rassied et dit au Français :
– Y’a bon bla-bla, hein ?

La blague de la misogynie

Un homme à femmes : c’est un séducteur.
Une femme à hommes : c’est une pute.

Un entraîneur : c’est un homme qui entraîne une équipe sportive.
Une entraîneuse : c’est une pute.

Un professionnel : c’est un sportif de haut niveau.
Une professionnelle : c’est une pute.

Un coureur : c’est un homme qui est bon joggeur.
Une coureuse : c’est une pute.

Un rouleur : c’est un grand cycliste.
Une roulure : c’est une pute.

Un turfeur : c’est un homme qui prend les paris.
Une turfeuse : c’est une pute.

Un gagneur : c’est un homme qui réussit.
Une gagneuse : c’est une pute qui rapporte.

Un masseur : c’est un kiné.
Une masseuse : c’est une pute.

Un abatteur : c’est un homme qui fait un dur métier.
Une abatteuse : c’est une pute qui turbine.

Un homme qui fait le trottoir : c’est un paveur.
Une femme qui fait le trottoir : c’est une pute.

Un courtisan : c’est un homme qui est proche du Roi.
Une courtisane : c’est une pute.

Un gars : c’est un jeune homme.
Une garce : c’est une pute.

Un péripatéticien : c’est un homme partisan de la doctrine d’Aristote.
Une péripatéticienne : c’est une pute.

Un homme public : c’est un homme connu.
Une femme publique : c’est une pute.

Un homme de petite vertu : cela ne se dit pas, sauf pour les avocats.
Une femme de petite vertu : c’est une pute.

Un homme facile : c’est un homme agréable à vivre.
Une femme facile : c’est une pute.

Un homme sans morale : c’est un politicien.
Une femme sans morale : c’est une pute.