Un jour, le facteur sonne chez la maman de Toto pour lui remettre un colis. Celle-ci qui était dans sa douche, se présente derrière la porte dans le plus petit appareil et, comme elle n’est pas assez grande, elle monte sur un tabouret pour regarder dans le judas.
Au même moment, le facteur, impatient, se baisse pour voir dans le trou de la serrure et s’exclame :
– Eh, petit frisé, va chercher ta mère !
C’est l’histoire d’un couple plus tout jeune. Ça fait bien deux ou trois ans que le mari n’a pas touché sa femme qui désespère. Un jour, il rentre du boulot et s’adresse à elle:
« Monte tout de suite dans la chambre ! »
Depuis tout ce temps, elle n’espérait plus, enfin aujourd’hui, tout a l’air de changer. Elle obéit et monte immédiatement. Puis son mari lui dit :
« Déshabille-toi ! »
Elle pense : « Enfin, il s’est décidé ! »
Le mari :
« Fais le poirier devant le miroir ! »
La femme, impatiente :
« Oui chéri. »
Le mari :
« Ecarte les jambes ! »
La femme, tout excitée :
« Tout de suite chéri. »
Sur ce, le mari pose son menton entre les jambes de sa femme, se regarde dans le miroir et dit :
« Les copains ont raison, ça m’irait bien la barbe. »
Ça se passe au Chili, dans un camp de guérilleros. Il y a un journaliste parisien qui a réussi à s’y introduire et à partager la vie de ces guérilleros. Mais pour le soir il y a un hic, c’est que pour rentrer au camp il y a un mot de passe, et comme tous les guérilleros sont barbus, le mot de passe c’est « Barbudo ». Chacun dit : « Barbudo ! », et il y a un mec qui répond : « Passez. »
Seulement le journaliste il a un petit problème : il est imberbe. il n’a pas de barbe du tout. Et le soir il se dit : « Comment je vais faire pour rentrer ? »
Alors il baisse son pantalon et il fait :
– Barbudo, mais services secrets !
L’histoire se passe dans un square, une petite fille est en train de jouer en mangeant une friandise tandis qu’un monsieur la regarde.
Tout à coup la petite fille se met à tousser et le monsieur lui dit alors :
– Ma pauvre chérie ! tu dois avoir des poils sur le berlingot !
Et la petite répond :
– Oh non monsieur, je n’ai que huit ans…
