… Pour ceux qui ont le pognon ! « Je ne peux pas oublier la guerre. Je le voudrais. Je passe des fois deux jours ou trois sans y penser et brusquement, je la revois, je la sens, je l’entends, je la subis encore. Et j’ai peur. » Jean Giono. Objectons ! la guerre c’est l’impôt du sang. (Dessin du 11 novembre 2015)
Ça se passe en classe. C’est une institutrice qui n’a pas de bol, il y a un inspecteur qui arrive. Et c’est toujours embêtant quand il y a un inspecteur, parce qu’il faut que la classe soit mieux ce jour-là que les autres jours. Et l’inspecteur fait : – Bonjour Mademoiselle, c’est pour une inspection académique, je vais me mettre dans un coin, faites votre cours comme si de rien n’était. – Bon, j’étais en train de faire un cours de morale, justement, sur les considérations générales de la vie. André, dis à Monsieur l’inspecteur ce que tu voudrais faire quand tu seras grand ! – Moi je voudrais être mécanicien ! Parce que j’adore la mécanique, j’ai des petites voitures et chez moi, c’est moi qui les remonte, c’est moi qui les trafique, je veux être mécanicien. – Vous voyez, Monsieur l’inspecteur, on a de tout, il y en a qui sont tentés par les travaux manuels. Et toi, mon petit Pascal ? – Ah, bah moi, je veux être menuisier parce qu’à la maison, pour Noël, j’ai eu un petit établi avec tout pour fabriquer de petits meubles… – Vous voyez, ils sont plutôt manuels, mais enfin, c’est un collège technique. Et toi Toto ? – Moi, quand je serai grand, je vais avoir le corps couvert de poils.
Là, la prof est un peu consternée quand même : – Comment ça, comment ça, couvert de poils ? – Ouais, ouais, je vais avoir le corps couvert, mais plein plein, plein, plein de poils des pieds à la tête, même sur le bout des pieds. Plein de poils. – Je ne comprends pas, mais pourquoi ?
Toto répond : – Parce que ma soeur elle en a juste un petit peu en bas et tu verrais le pognon qu’elle gagne !
C’est un juif qui dit à un ami : – La purée de moi-même : je ne sais pas quoi acheter comme cadeau à ma fiancée ! Qu’est-ce que je pourrais lui offrir ! Un truc, je ne sais pas, où je pourrais récupérer le pognon ?
Et son ami lui répond : – Achète-lui du rouge à lèvres, tu récupéreras toujours un peu !
Un type est en train de causer à une prostituée. – Alors beau blond, tu montes ? Lui dit-elle. – Je monte mais à une condition : il faudra que vous soyez vraiment salope. – Alors ça va être cher : mille euros. – Bon d’accord, mais il faudra vraiment être très très salope ! dit le gars en suivant la pute dans l’escalier. – Alors ça sera très très cher : 2000 et on paie d’abord ! dit la pute.
Le gars commence à sortir ses billets de son portefeuille en ajoutant : – Mais je vous préviens il faudra être très très très salope ! – Ecoute minou, je te prends le reste, dit-elle en s’emparant du reste des billets, et je serai la plus salope des salopes les plus salopes.
Le gars est hyper excité : – J’en veux pour mon pognon ! dit-il.
La pute le déshabille et lui attache ses poignets avec des menottes au sommet du lit. voilà le type toute érection dehors, hyper turgescent qui lui dit : – Je veux le sentir passer !
La pute lui répond : – Je vais te donner plus que tu ne veux mon gros loup. En s’approchant de lui elle lui susurre à l’oreille : – Et maintenant mon biquet, je me tire ! et là le gars gueule : – SALOPE ! ! ! ! ! ! !