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Les plaintes de la belle vie

Finalement, la vie n’est pas si mal que ça !

A l’adolescent qui se plaint de la vaisselle à faire, ça veut dire qu’il est à la maison et non dans la rue…

Aux impôts que je paie, ça veut dire que j’ai un emploi…

Au ménage à faire après une fête, ça veut dire que j’étais entouré(e) d’ami(e)s…

A mes vêtements qui sont juste un peu trop serrés, ça veut dire que je mange à ma faim…

A mon ombre qui veille sur moi au travail, ça veut dire que je suis en pleine lumière…

A la pelouse qui a besoin d’être tondue, aux fenêtres à nettoyer et aux planchers à laver, ça veut dire que j’ai un toit…

Aux plaintes faites à nos gouvernements, ça veut dire que nous avons la liberté d’expression…

Au dernier stationnement que j’ai trouvé au bout de la cour du magasin, ça veut dire que je suis capable de marcher…

A ma grosse facture de chauffage, ça veut dire que je suis au chaud…

A la personne derrière moi qui parle trop fort, ça veut dire que j’entends….

A ma pile de linge sale à nettoyer et à repasser, ça veut dire que j’ai des vêtements à porter…

A l’épuisement et à la douleur musculaire à la fin de la journée, ça veut dire que je suis capable de travailler dur physiquement…

A la sonnerie de mon réveil-matin, ça veut dire que je suis vivant(e)…

La blague du vœu de silence

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Une femme n’ayant connu que des problèmes dans la vie décide d’entrer dans les ordres ; Elle rejoint un couvent où la règle la plus dure et de ne pouvoir dire que DEUX MOTS tous les dix ans.

Dix ans passent… la femme va un beau jour voir la Mère Supérieure et dit :
« Nourriture froide ».

Dix nouvelles années plus tard, elle dit à la Mère Supérieure :
« Matelas durs ».

Encore dix années, et là la femme retrouve la Mère Supérieure pour lui dire :
« Vous quitte »

Et la Mère Supérieure répond alors :
« Tant mieux ! De toutes façons, vous n’avez pas cessé de vous plaindre ! »

L’autorité de la belle-mère

Un malheureux mari va se plaindre à un conseiller conjugal :
– Ma belle-mère est terriblement autoritaire, explique-t-il. Elle procède toujours de la même façon : elle me pose une question, puis elle répond pour moi et, enfin, elle passe une demi-heure à me prouver que j’ai tort.

Les promesses du mariage

– J’exige que vous me promettiez, dit une mégère à son futur gendre, que, lorsque vous serez marié avec ma fille, vous ne boirez plus, vous ne fumerez plus, vous ne sortirez plus le soir, vous l’aiderez aux soins du ménage…
– C’est d’accord. Mais, après coup, ne venez pas pleurer que vous avez donné votre fille à un imbécile !