blague pièce de théâtre

Tel chien tel maître, non mais !

Les perles : les faits divers

Dans une pièce de théâtre policière, il fallait qu’un chien découvrit l’assassin en suivant ses traces. Aux répétitions tout alla bien. La bête intelligente avait toujours compris qu’elle devait traverser la scène en flairant les traces imaginaires de l’assassin et disparaître dans la coulisse en face. Mais à la première représentation, le chien se préparait à traverser la scène, quand soudain, il remarqua un objet insolite, qu’il n’avait jamais vu pendant les répétitions : la boîte du souffleur. Il s’approcha de la boite, jeta un regard à l’intérieur, puis leva la patte et arrosa soigneusement le pauvre homme.

Au théâtre le soir

Au théâtre, l’auteur assiste à la répétition de sa dernière pièce. Tout à coup, il se lève et lance à l’acteur qui tient le rôle principal :
– Mais non, mais non, monsieur, ce n’est pas ça ! Vous n’êtes pas drôle du tout. Pourtant, je connais votre vie et je sais même que dans votre vie privée, vous êtes drôle.
– Possible, cher auteur, mais dans ma vie privée, le texte est de moi.

La critique facile…

L’auteur dramatique sort penaud de la salle de théâtre où sa pièce vient de faire un bide retentissant.
– En tout cas, dit-il pour se consoler, ils ne m’ont pas sifflé !
– Ils ne pouvaient pas, répond un ami charitable. Comment peut-on siffler pendant qu’on baille ?

La mort de l’acteur

Par économie, on a monté la pièce à peu de frais. L’acteur engagé pour le rôle principal est tout à fait médiocre. Après la première représentation, l’auteur rejoint le comédien dans sa loge et lui annonce :
– Je vais remanier ma pièce. Dorénavant, vous serez tué dès la fin du premier acte.
– Ce serait dommage. Pourquoi voulez-vous faire ça ?!
– Il est préférable que je vous tue avant que le public le fasse.