blague piano

Le noir au piano-bar

C’est un noir qui entre dans un piano-bar. Il s’accoude au comptoir :
– Ga’çon ! (avé l’accent)

Une blonde arrive :
– Monsieur désire ?
– Je vroud’ai un ouiski.

La blonde :
– Voilà monsieur.
– Dites-moi, il joue t’es bien ce pianiste, là-bas dis donc.

La blonde :
– Allez le voir de ma part, il se fera un plaisir de jouer votre air favori.

Le noir s’approche du piano et dit au musicien :
– Je viens de la pa’ de la ba’maid. J’aime’ai entend’e « Mambo » !

Le pianiste surpris :
– Mambo ? Je ne connais pas cette chanson, mais si vous me fredonnez les premiers notes, cela me dira peut-être quelque chose.

Et le noir de chanter :
– Mambo sapin, ‘oi des fo’êts…

La prière du petit garçon

Comme tous les soirs, un petit garçon fait sa prière :
– Bon dieu, gentil bon dieu, accorde la fortune à papa ! Accorde l’intelligence à mon grand frère ! Accorde la santé à maman !

Son père entre à ce moment et dit :
– Et pour le même prix, il ne peut pas venir accorder le piano ?

La blague de la remariée vierge

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C’est l’histoire d’un mec qui vient de se marier. Si pour lui, la vie à deux est une expérience nouvelle, on ne peut pas en dire autant de sa dulcinée qui en est déjà à son cinquième mariage. Mais l’homme est très surpris le premier soir au lit car il s’aperçoit que sa femme est vierge…
– Dis donc chérie, ils étaient si moches que ça tes précédents maris ?
– Non, pas du tout. Je vais t’expliquer :
Le premier, c’était un pianiste, alors tu comprends ces artistes : tout avec les doigts.
Le deuxième, c’était un communiste, alors tu vois : des promesses, des promesses, des promesses…
Le troisième, c’était un avocat : des paroles, des paroles, des paroles…
– Et le quatrième ?
– C’était un socialiste.
– Et alors ?
– Et ben je l’ai eu dans le cul.

Les voisins du compositeur

Un compositeur a emménagé dans une ville nouvelle de banlieue, où les pavillons sont serrés les uns contre les autres. On l’interroge :
– Les voisins ne se plaignent pas de vous entendre jouer du piano à longueur de journée ?
– Non. Et cela parce que j’ai eu recours à un truc très simple. Lorsque je suis arrivé, j’avais demandé aux déménageurs de laisser, bien en évidence, dans le jardin devant la maison, un tuba et une batterie. Après une telle peur, les voisins ont été trop heureux de s’en tirer à si bon compte, en constatant que je ne jouais que du piano.