blague pétrole

Sous le charme du pétrole

L'OPEP nouvelle formule ; les charmeurs du prix du pétrole
3 janvier 2017 – Sous le charme du pétrole

L’OPEP est morte ! Vive l’OPEP (Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole) : Les pays de l’organisation ont réussi à s’entendre pour soutenir les prix. Le baril est passé de moins de 30 dollars à près de 55 dollars. On n’a pas d’idées mais on n’a pas de pétrole !
(Dessin du 3 janvier 2017)

La démesure américaine

Un couple de Texans, enrichis par le commerce du pétrole, vient d’acheter, en Ecosse, un château du XVème siècle.
– Bon, dit le mari, on va le faire démolir, pierre par pierre, pour le reconstruire dans notre propriété de Dallas.
– Ce qui me plaît surtout, enchaîne la femme, c’est la salle à manger, avec cette table de chêne longue de vingt-cinq mètres.
– A propos, fait le mari, il faudra que je pense à nous acheter deux talkies-walkies.
– Pourquoi deux talkies-walkies ?
– Eh bien, ça nous sera bien utile, quand nous serons assis, chacun à un bout de cette table, et que l’un de nous deux voudra demander à l’autre de lui passer le sel.

L’exploit de la Bretagne

Les perles : Le baccalauréat

« Exploit unique au monde, la Bretagne qui n’a pas de pétrole a réussi à faire tourner des usines électriques à l’eau de mer en particulier celle de la Rance. »

L’enfant et la crise des piles électrique

Un petit garçon se trouve désemparé parce que toutes les piles alimentant ses voitures téléguidées sont à plat.
– Ce n’est pas grave lui dit son père. On va jouer à la crise de l’énergie. Alors, moi, je serais un vilain émir qui viendrait de doubler le prix du pétrole brut. Toi, tu serais les automobilistes des pays civilisés. Et tu pousserais tes voitures à la main, pour leur faire faire la queue devant les pompes à essence d’une station-service.

Quel imbécile ce Moïse

Dans une école en Israël. L’instituteur demande à un élève :
– Qui était Moïse ?
– Un gars pas bien malin.
– Comment ! Tu n’as pas honte de parler ainsi de Moïse, notre grand ancêtre ?
– Non, c’est un abruti car après avoir traversé la mer rouge, il a tourné à gauche. S’il avait tourné à droite, c’est nous qui aurions eu tout le pétrole…