blague petit-déjeuner

Les repas de saison

Les perles : les enfants

Décrivant les repas de la journée :
« Le printemps, c’est le petit déjeuner : gai, coloré. L’été, c’est le grand déjeuner, avec le plat chaud. L’automne, c’est comme le goûter, avec les feuilles marron comme le chocolat. Et l’hiver comme le dîner, qui se fait le soir quand il fait nuit dehors. »

(Valentin, 8 ans)

Une excuse matinale

Une femme très en colère attend son mari derrière la porte avec un rouleau à pâtisserie. L’homme rentre enfin. Il a du rouge à lèvre sur son col de chemise, et son haleine pue l’alcool.
– Je suppose, dit-elle, que tu as une bonne excuse pour oser rentrer ici à 6 heures du matin !?
– Oui bien sûr, répond-t-il, le petit déjeuner…

La blague de la retraite du facteur

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L’autre jour, c’était la dernière tournée du facteur avant son départ à la retraite : trente ans qu’il nous distribuait le courrier par tous les temps, et toujours avec le sourire. Alors tous les gens du quartier s’étaient passé le mot, et tous avaient décidé de « marquer le coup ».

Lorsqu’il arriva à la première maison, il fut congratulé par les parents et les enfants. On lui offrit une coupe de champagne et une petite enveloppe.

A la deuxième maison, ils lui offrirent une boite de cigares.

A la troisième maison, c’était un billet pour un concert de Madonna.

A la quatrième maison, c’est une ravissante jeune femme blonde en chemise de nuit transparente qui l’attendait : elle le prit par la main et l’emmena dans la chambre où ils firent l’amour passionnément…

Au bout d’un moment, le facteur qui était resté un fonctionnaire modèle, pensa qu’il était temps qu’il reprenne sa tournée. La blonde lui dit alors :
– Ne partez pas : je vous ai aussi préparé un bon petit déjeuner !

Et effectivement, sur la table de la cuisine l’attendaient du café, du chocolat, du lait, des croissants, des céréales, du jus d’orange, des œufs au bacon, etc. Ravi car son estomac criait famine après les galipettes qu’il venait de faire, notre homme en profita pour se régaler. Il allait enfin prendre congé quand il remarqua une pièce d’un euro dans la soucoupe de sa tasse de café :
– Ce que vous avez fait pour fêter mon départ est vraiment formidable, et je vous en remercie du fond du cœur… Mais je ne comprends pas bien ce que fait là cette pièce d’un euro ?

Alors la blonde répond :
– Hier soir, quand j’ai dit à mon mari, que c’était votre dernière tournée et qu’il serait bien de vous faire un cadeau, il m’a répondu : « Donne-lui un euro et qu’il aille se faire foutre ! »… Le petit déjeuner, c’était mon idée.

La blonde et les cannibales

Des cannibales ont attrapé une superbe femme blonde. Ils l’attachent à un poteau au centre du village. Le chef cuisinier vient voir le roi de la tribu et lui dit :
– Bon, eh bien, chef, la blonde, vous voulez la manger quand ?
– Je la mangerai demain.
– Bon, vous la voulez pour le déjeuner, ou pour le dîner ?
– Vous me l’apporterez au petit déjeuner, et exceptionnellement, je sens que je vais prendre le petit déjeuner au lit…

La blague de Little Big Horn

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80 ans après la bataille de Little Big Horn, un journaliste de la côte Est faisait des recherches sur le Général George Armstrong Custer. On lui avait dit qu’un Indien qui avait vécu la bataille vivait encore, et mieux, il se souvenait d’absolument TOUS les événements de sa longue vie.

 Le journaliste décide alors de rendre visite à ce Grand Chef « Aigle Noir », qui vit maintenant dans une petite ville de Pennsylvanie. Le grand chef est très avenant et est d’accord pour répondre aux questions du journaliste :
– Quel jour de la semaine a eu lieu la bataille ? demande le journaliste.
– Un Mercredi. Répond le chef.
– Que portait Custer ?
– Un uniforme noir.. une épée de cérémonie.. un vieux chapeau.
– Qu’est-ce que Custer avait mangé au petit-déjeuner ?
– Des œufs.

Le journaliste est assez sceptique en entendant ces réponses. Il remercie le grand chef, quitte la ville, et décide de ne jamais publier son article.

10 ans plus tard, le journaliste passe par hasard par cette même petite ville de Pennsylvanie en voiture. Il décide d’aller voir si le grand Chef est toujours en vie. A sa grande surprise, le grand chef est toujours là.

Comme le journaliste vient vers le chef pour le saluer, il lève la main en l’air et fait le salut indien :
« How ! » (en anglais = Comment)

Et le chef lui répond :
« Sur le plat, avec des pommes de terre sautées pour accompagner. »