blague perversion

La classe du dragueur

Un homme entre dans un bar et s’assied à côté d’une jeune et belle femme. Il commande une bière au barman.

Après un moment, il se tourne vers la jeune femme et lui dit :
« Excusez-moi, pourrais-je sentir votre minou ? »

La fille, ulcérée, lui jette le contenu de son verre à la figure et lui dit :
« Ça va pas, non ?! Espèce de pervers !! »

Alors, sans se démonter, l’homme lui répond :
« Oh ! Ben ça doit être vos pieds alors… »

La pédagogie de la pédophilie

En tant que directeur de la communication, on m’a demandé de préparer un mémo passant en revue les programmes de formation et le matériel de notre société. Dans le texte du mémo, une des phrases mentionnait « l’approche pédagogique » utilisée dans l’un des manuels de formation.

Le jour suivant, j’envoyai le mémo au comité exécutif. Je fus aussitôt appelé dans le bureau du Directeur des Ressources Humaines et on m’annonça que la « executive VP » voulait me voir hors des murs avant le déjeuner. Quand je demandai pourquoi , on me dit qu’elle ne pouvait pas supporter les « pervers » (pédophiles ?) dans sa société.

Finalement, il me montra la copie de mon mémo où on voyait sa demande de me virer, avec le mot « pédagogique » entouré de rouge. Le Directeur des Ressources Humaines fût plutôt raisonnable, et dès qu’il eut regardé la définition dans son dictionnaire et fait une copie pour l’envoyer à mon chef, il me dit de ne pas m’en faire. Il allait s’occuper de moi.

Deux jours plus tard, un mémo adressé à toute l’équipe fut envoyé, nous demandant que les mots que l’on ne pourrait pas trouver dans le journal local du dimanche ne devaient pas être utilisés dans les mémos internes.

Un mois plus tard, je donnai ma démission. En règle avec la politique de la société, je créai ma lettre de démission en collant des mots découpés dans le journal du dimanche.

(Taco Bell Corporation)

La blague de l’arnaque perverse

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La justice australienne s’est retrouvée dans l’incapacité de condamner une pratique frauduleuse qui a fait la fortune des deux ou trois comiques qui en ont eu l’idée. Ils ont mis des publicités dans plusieurs journaux, assurant qu’ils étaient spécialisés dans l’importation de films pornos, et qu’ils pouvaient obtenir à leurs clients n’importe quelle film de leur choix. Comme les prix pratiqués étaient plutôt intéressants, pas mal de clients ont décidé de passer commande et ont envoyé leur petit chèque.

Cependant, après plusieurs semaines d’attente, les clients ont fini par recevoir une lettre leur expliquant que tout compte fait la loi australienne ne permettait pas l’importation de matériel pornographique… Joint à la lettre, il y avait un chèque libellé à leur nom du montant exact de la somme qu’ils avaient payée. Remboursés, donc ?

Ce serait sans compter un petit détail qui a fait que moins de 10% des clients ont osé aller encaisser le chèque : le nom du titulaire du compte était : « Sodomie, Fétichisme et Perversions, S.A. »