blague pénitence

La tentation du curé

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Un curé se rend à l’église du village voisin :
– Cher collègue, il faut absolument que tu me confesses tout de suite.
– Oui bien sûr, je t’écoute.
– Hier soir, j’ai rendu visite à une jeune et belle veuve de mon village pour la consoler de la perte de son mari. Après une petite demi-heure, cette femme m’a demandé de lui faire l’amour. Bien entendu, j’ai refusé. Elle s’est déshabillée et toute nue, elle se trémoussait devant moi. Je suis resté de marbre et je suis parti sur le champ !
– Bien ! et alors ?
– Et alors ! rien ! Je suis rentré chez moi en courant mais j’ai quand même pêché puisque j’ai regardé cette femme toute nue !

Alors le curé confesseur lui dit :
– Comme pénitence, tu vas boire 20 litres d’eau par jour pendant une semaine !
– Quoi ? 20 litres d’eau par jour ?
– Eh oui ! C’est la dose quotidienne qu’on donne à un âne !

La confession des garçons

Dans une école de garçons, on confesse les élèves tous les dimanches. Le premier dit :
– Mon père, je m’accuse d’avoir couché avec Fifine !
– Petit monstre ! Tu réciteras un chapelet ! Au suivant…

Le second s’amène et il dit :
– J’ai couché avec Fifine !

Et tous les gamins de la classe font la même confession. Le curé est estomaqué.

Quand le dernier approche, il lui dit :
– Et probablement, tu as aussi couché avec Fifine ?
– Non, monsieur le curé. Fifine, c’est moi

La blague de la pénitence piquante

Un couple, victime d’un accident d’automobile se retrouve soudain devant Saint Pierre. Le vigile du Bon Dieu s’adresse au mari et à son épouse :
– Je tiens à vous avertir qu’il ne faut pas essayer de nous rouler : nous avons les moyens de vérifier vos dires, alors, pas de mensonges !

Et, il se tourne alors vers la femme, tout en disant au mari de se rendre dans une salle à côté en attendant.
– Avez-vous trompé votre mari ? Demande alors saint-Pierre.
La dame, gênée, finit par avouer : « Oui ».
– Combien de fois exactement ?
Après un temps d’hésitation, elle répond : « …Deux fois. »

Saint Pierre appelle un ange-infirmier :
– Rendez-vous dans la salle des pénitences et faites deux piqûres à Madame.

Ils passent alors dans une pièce, voisine où elle reçoit ses deux piqûres. En ressortant, elle s’arrête :
– Mais, où est passé mon mari ?
– Rassurez-vous Madame, il n’est pas perdu : on est en train de le passer à la machine à coudre !

La confession de la gymnaste

Une jeune fille d’un petit village de l’Ardèche, partie depuis plusieurs années gagner sa vie dans la capitale, revient un été passer quelques jours de vacances dans la famille.

Etant très pieuse, elle se rend à l’église et demande à monsieur le curé l’occasion de se confesser. Dans le confessionnal, monsieur le curé invite la jeune fille non pas à énumérer ses péchés, mais plutôt à raconter ce qu’elle est devenue depuis qu’elle a quitté le village :
– Eh bien, je suis une gymnaste professionnelle maintenant et j’officie dans un club tout près de Paris, et bientôt je pense que je serai sélectionnée pour les championnats d’Europe.
– Dis donc dis donc ! Si on m’avait dit que la toute petite pitchoune qui n’arrêtait pas de faire des bêtises pendant les heures de catéchisme deviendrait une championne de gymnastique, je ne l’aurais pas cru ! Tu sais ce qui me ferait plaisir ? Ce serait que tu me fasses une démonstration de ce que tu sais faire ici, dans l’église… C’est possible ?
– Oh oui, bien sûr monsieur le curé ! Répond la fille.

Là dessus, ils sortent tous les deux du confessionnal et la fille se dirige dans l’allée centrale de l’église où elle se lance dans une série de saltos avant, saltos arrières, roues et sauts carpés.

Deux vieilles qui attendaient leur tour sont aussi les témoins de ce superbe enchaînement. Avec des yeux ronds comme des billes, la première dit à l’autre :
– Je ne sais pas ce qu’elle avait fait comme bêtises, mais monsieur le curé n’y a pas été de main morte avec les pénitences…

La nudité de la nouvelle religieuse

C’est une toute nouvelle et jeune religieuse qui s’en vient faire sa première confession à l’aumônier du couvent. Lorsque le curé l’invite à se libérer de ses fautes, elle avoue :
– Mon père, pardonnez-moi parce que j’ai péché et je continue à pécher… J’ai honte de vous dire ça, mais je ne porte pas de sous-vêtements sous ma tunique.

Le curé réprouve un petit rire, puis il lui répond :
– Mais tout ça n’est pas bien grave, ma fille. Vous réciterez simplement cinq Notre Père, cinq Je vous Salue Marie, et vous ferez la roue cinq fois en vous rendant jusqu’à l’autel.