blague pause café

Les mauvaises pauses

– C’est trop bête, raconte un homme. A l’issue d’un entretien d’embauche, j’étais sur le point d’être engagé, avec un très bon salaire, chez un fabricant de thé en sachets.
– Que s’est-il passé ensuite ?
– Il a fallu que je commette la gaffe de ma vie en demandant au chasseur de têtes qui me recevait : « Est-ce que, dans cette maison, elles sont à heure fixe ? ». Quand il m’a demandé de quoi je parlais, j’ai répondu bêtement : les pauses-café.

L’art de la pause-café

Les perles : la police

Brigade de L’Arbresle (Rhône), non reliée au Centre d’Opération de la Gendarmerie. Le planton reçoit l’appel d’une femme à l’air pressé :
– Il faudrait que vous envoyiez une patrouille à l’hôpital pour dire que je serai en retard au boulot.
– Écoutez, madame, ceci n’est pas dans nos attributions, pourquoi ne téléphonez- vous pas vous-même ? Rétorque le gendarme de permanence.
– Je suis aide-soignante et j’ai déjà essayé d’appeler mes collègues. Mais ils doivent être à la pause-café et ne répondent pas !
Seule la charité empêche de se moquer de l’hôpital.

Ne jamais licencier trop vite

Le patron d’une grosse entreprise fait une visite inopinée dans une de ses succursales de province. Dans un entrepôt, il surprend un homme affalé sur des caisses, en train de fumer et de boire du café.
– Hep, vous là-bas, vous gagnez combien par mois ? Demande le PDG.
– Bof, avec les primes, ça tourne entre 1000 et 1500 euros bruts par mois, répond le gars.

Le patron sort alors un chéquier de sa poche et signe un chèque de 3000 euros
– Tenez, prenez ça et disparaissez, je ne veux plus vous voir ici. Vous vous arrangerez avec notre service comptabilité pour les papiers !

Le type prend le chèque et s’en va, sans demander d’explication. Le directeur de la succursale arrive alors et voit le patron.
– Au fait, Monsieur le Président, vous n’auriez pas vu le livreur de la SERNAM ?

Les courses de chiens

Pendant la pause café au bureau, Jules dit à Robert :
– J’ai été pas mal chanceux hier, aux courses de chiens. J’ai gagné quatre courses sur sept.
– Hé ben, tu dois être pas mal fatigué ce matin !