blague patrouille

Tapage méridionnal

Les perles : la police

Une femme âgée appelle la gendarmerie pour se plaindre du bruit provenant d’une rue adjacente. La patrouille la plus proche se rend sur les lieux, mais ne constate aucune infraction. Une fois chez la plaignante, les gendarmes recherchent l’origine du tapage nocturne. L’enquête progresse rapidement : étonnamment, le son provient d’un pot de fleurs. Une fouille approfondie laissera apparaître… un grillon. L’insecte provençal y avait élu domicile. Indulgente, la vieille dame n’a pas demandé l’utilisation de la force pour faire cesser la nuisance. Le contrevenant n’a pas été verbalisé et s’en frotte encore les ailes.

La police du tabac

Les perles : la police

Un individu demande à l’opérateur s’il est possible qu’une patrouille de gendarmerie lui apporte un paquet de cigarettes, assurant que son ami les remboursera dès qu’il aura touché son chèque.

Arrête papa !

Les perles : la police

Une personne signale qu’elle entend depuis une heure un enfant crier : « Arrête, papa… arrête, papa ! ». Sur place, une patrouille constate que le papa tente d’extraire è l’aide d’une aiguille une tique logée sur la fesse de son fils… et qui est bien décidée à ne pas lâcher prise.

L’amant éconduit

Les perles : la police

Une dame demande l’intervention de la gendarmerie, quelqu’un frappant depuis quelques minutes à la fenêtre de sa chambre. Sur les lieux, la patrouille reconnaît l’homme qui n’en est pas à sa première escapade nocturne chez cette dame. Rien de scandaleux lorsqu’on sait qu’elle a déjà cédé à ses avances à plusieurs reprises. Mais ce soir, le cœur n’y était pas !

La blague des couilles de l’inspectrice

Un maître-chien fait équipe avec une jeune inspectrice.

Leur mission du jour est de patrouiller dans le quartier chaud de la ville en compagnie de Rintintin, le berger allemand. Ils se baladent depuis quelques minutes, lorsque l’inspectrice dit :
« Ah ça m’embête tu sais, j’étais à la bourre ce matin, et j’ai oublié de prendre des serviettes périodiques. Le problème, c’est que les anglais ne vont pas tarder à débarquer et j’aimerais autant pas que ça soit sur mon pantalon ! On va devoir retourner au poste, pour que je les prenne au vestiaire ! »

Le maître-chien répond :
« Bah, inutile de retourner au poste. Tu n’as qu’à te laisser sniffer par Rintintin et tu vas voir, dans dix minutes, il est de retour avec ta boite de Vania. »

L’inspectrice se met à rigoler de la proposition saugrenue, et elle se laisse convaincre. Le maître-chien prend alors Rintintin par le collier et lui fait sniffer l’entrejambe de l’inspectrice. Le berger allemand colle sa truffe contre le pantalon, sniffant les odeurs et reniflant bruyamment, puis, une dizaine de secondes plus tard, ses oreilles se redressent, il place sa truffe dans le vent, et en un éclair, il file seul vers le poste de police.

Cinq minutes plus tard, pas de Rintintin… Dix minutes plus tard, toujours pas de Rintintin…

Quinze minutes plus tard, les deux policiers commencent à paniquer. Ils se disent qu’ils ont fait une grosse connerie, surtout lorsqu’ils entendent des sirènes de police qui semblent se rapprocher ?

Les sirènes sont maintenant à deux pâtés de maison, et voici soudain Rintintin qui arrive en courant, suivi de près par douze voitures de police ! Rintintin tient quelque chose dans la gueule ; mais ce ne sont pas les Vania de l’inspectrice, non, non : ce sont les couilles du commissaire !