– Mademoiselle, dit le médecin, après avoir procédé à un examen approfondi de sa patiente, je suis formel : vous êtes enceinte. En ce qui vous concerne, vous vous trouvez dans une forme parfaite. Et le père de l’enfant, est-il en bonne santé ? – Je le suppose, mais je peux vous jurer que si je lui mets la main dessus, il ne le restera pas longtemps, en bonne santé…
Une femme sort avec un médecin. Peu de temps après, elle tombe enceinte. Ils ne savent pas quoi faire.
Quelques neuf mois plus tard, juste au moment où elle devrait mettre au monde l’enfant, un curé entre à l’hôpital pour se faire soigner une affection du prostate. Le médecin annonce à la femme : – Je sais ce que nous allons faire. Après avoir opéré le curé, je lui donnerai le bébé et lui dirai qu’il s’agit d’un miracle. – Penses-tu que ça marchera ? – Ça vaut la peine d’essayer…
Ainsi le médecin délivre la femme de son bébé et puis opère le curé. Après l’intervention, il s’entretient avec le prêtre : – Mon père, vous n’allez pas me croire… – Quoi ? Que s’est-il passé ? – Mon père, vous avez eu un bébé. – C’est impossible… – J’ai opéré moi-même. Il s’agit certainement d’un miracle. Voici votre fils.
Quinze ans plus tard, le curé se rend compte qu’il doit tout avouer à son fils. Il l’appelle auprès de lui et dit : – Mon garçon, j’ai quelque chose à te dire. Je ne suis pas ton père. – Que veux tu dire ? Je ne suis pas ton fils ? – Je suis ta mère. L’archevêque est ton père.
– Félicitations, tu es papa ! – Merci. – Comment vas-tu l’appeler, ce charmant bambin ? – On va l’appeler Vergepasse. – Vergepasse, quel drôle de prénom ! – Ben, t’as bien appelé le tien Jonathan.
Un petit garçon entre dans un commissariat, et s’accroche au premier policier qu’il rencontre en lui disant : – Viens vite, dehors il y a un vilain monsieur qui frappe mon papa !
Le flic sort du commissariat et trouve sur le trottoir deux hommes en train de se battre, il demande alors au petit garçon : – Je veux bien t’aider, mais lequel des deux est ton papa ? Le petit le regarde alors d’un air penaud et lui répond : – Je ne sais pas, c’est pour ça qu’ils se battent !