blague parking

Le prêt sur gage de l’homme d’affaire juif

Avant de partir en voyage pour affaires, un business de confession juive se rend en Rolls-Royce jusqu’à une banque new yorkaise et demande un prêt court terme immédiat de 5000 $.

Le guichetier lui demande des garanties pour lui accorder le prêt. Alors l’homme d’affaire lui donne les clefs de Rolls en gage.

La Rolls est alors conduite dans le parking souterrain de la banque, et l’homme d’affaire empoche ses 5000 $.

Deux semaines plus tard, le gars rentre d’Europe, demande au guichetier à rembourser son prêt et à récupérer sa Rolls. Le guichetier lui répond :
– Ça fera 5000 $ de capital et 15.4 $ d’intérêts.

Le gars prend son chéquier, remplit le montant, donne le chèque et s’en va avec ses clefs. A ce moment là, le guichetier l’interpelle :
– Monsieur, monsieur, avant que vous ne partiez, pouvez-vous m’expliquer une petite chose ? J’ai découvert pendant que vous étiez parti que vous êtes milliardaire. Comment se fait-il que vous ayez eu besoin d’emprunter 5000 $ ?

Et le gars répond avec un sourire:
– Et comment trouver un parking gardé pour garer ma Rolls pendant 15 jours et ne payer que 15.4 $ ?

Les français dans le bar belge

Ce sont deux français dans ce bar de Belgique. Et il y en a un des deux qui est bien imbibé d’alcool et qui raconte à haute voix des histoires belges (et pas les plus fines).

Celui qui est clair essaie bien de le dissuader de continuer, mais rien n’y fait, l’autre continue à raconter ses blagues toujours en parlant plus fort. Naturellement, la patience des hommes du cru ayant ses limites, un des clients belges de l’établissement vient aborder les français en disant que « Si ce malotru continue à se moquer de nous les belges une fois, ça va mal se terminer ». Et le belge s’en va.. Mais le français bourré ne se calme pas pour autant, et pendant 5 minutes encore, les histoires belges continuent à pleuvoir.

Finalement, sentant qu’il valait mieux disparaître, le français pas bourré paie et entraîne son ami vers la sortie. Sur le parking, alors qu’il cherche ses clés de voiture, il entend une voix derrière lui qui dit :
– Je vous ai attendu espèces de sales français. Vous allez payer pour toutes les médisances que l’aut fieu a dit

Et là le français encore clair se retourne, voit le belge qui brandit un rasoir… et constate avec soulagement qu’il n’y a aucune prise électrique pour le brancher.

Comment remercier son bienfaiteur

Un mendiant raconte à un compagnon de misère :
– Figure-toi que, l’autre jour, sur un parking, je trouve un portefeuille contenant plus de mille euros, en billets de banque.
– Et alors, qu’as-tu fait ?
– La carte du type qui avait perdu ce portefeuille était à l’intérieur. Sans hésiter, je lui ai envoyé un billet de dix euros pour le remercier.

Les problèmes de stationnement

Une femme est allongée sur la chaussée le long du trottoir. Un agent s’approche :
– Que vous est-il arrivé, vous avez eu un malaise ? demande-t-il inquiet.
– Non, non, pas du tout, je garde la place pour que mon mari puisse se garer !

Le dormeur du parking et les joggers

Un gars qui vient de faire une super longue route en voiture pendant la nuit décide de s’arrêter pour dormir un peu sur le coup des 6 heures du mat’, avant de continuer son chemin, encore long, quelques heures plus tard.

Il s’arrête sur un parking à l’entrée d’une grande ville, un peu à l’écart de la grande route, pour dormir un peu.

Mais son parking est en fait un lieu de passage obligé pour tous les joggers du dimanche de la ville… Et sur le coup des sept heures, il est réveillé par un « Toc Toc » à la fenêtre de la voiture. Le voyageur, tiré de son sommeil ouvre les yeux, baisse la vitre et dit :
– Ouais, qu’est-ce qu’il y a ?
– Vous avez l’heure, demande le jogger.
– Il est 7h15, répond le voyageur après un coup d’oeil sur sa montre.

Le jogger le remercie, et s’en va en courant. Le voyageur se rendort, mais pour peu de temps car des coups sur sa vitre le tirent de son sommeil :
– Pardon monsieur, est-ce que vous avez l’heure ?
– 7h30 !
Le deuxième jogger remercie et s’en va.

Voyant que d’autres joggers risquent par la suite de venir l’empêcher de dormir, le voyageur prend un papier, un crayon, et il écrit :
« Je ne sais pas l’heure qu’il est ! » sur son papier, qu’il colle bien en évidence sur sa vitre. Puis il se rendort.

Un quart d’heure plus tard, on tape au carreau :
– Monsieur, monsieur ?… Il est 7h45 !