blague parents

Le bulletin trimestriel de Toto

Toto remet son bulletin trimestriel à son père et c’est une catastrophe.
– Mais Papa, c’est pas de ma faute, l’instituteur ne m’aime pas, il me persécute, il n’arrête pas de me poser des questions difficiles.

Le père de Toto est furieux, va voir le directeur et demande à voir l’instit. L’instituteur arrive. Le père de Toto :
– Alors, il parait que vous persécutez mon fils ? Que vous lui posez des questions très difficiles sans arrêt ?
– Mais pas du tout monsieur ! Enfin, Toto, combien font deux et deux ?
– Tu vois Papa, il recommence !

Le premier emploi de David

David est engagé pour son premier emploi avec un salaire de 1000 euros.

Le premier mois, il rapporte ponctuellement 1000 euros à ses parents. Le deuxième mois, 985 euros.

Le troisième mois, 970 euros. Alors sa mère s’écrie :
– David, je ne suis pas dupe. Dis-moi immédiatement le nom de cette femme…

La blague de Toto et sa devinette salace

blague toto, blague parents, blague sexe, blague nourriture, blague gueule, blague devinette, blague cul, humour drôle

Toto et ses parents sont à table. Tout d’un coup, Toto dit à sa mère :
– Eh ! Maman ! Eh maman ! Qu’est-ce qui est mou quand on le prend et qui durcit quand on le met au chaud ?

Sa mère lui dit :
– Ecoute, Toto, je t’interdis de parler de ça quand on est en train de manger. Tu n’as qu’à demander à ton père, mal élevé que tu es ? Mauvaise graine !
– Dis papa, qu’est-ce qui est dur quand on le prend et qui ramollit quand on le met au chaud ?

Le père, il fait :
– Eh bien, ce sont des macaronis, Toto !
– C’est bien ce que je pensais… Maman, elle, elle ne pense qu’au cul. Mais toi, c’est tout pour la gueule !

La maman désespérée et le bébé qui pleure

Accablée parce que, depuis qu’elle est rentrée de la clinique, son bébé n’arrête pas de brailler, une jeune maman appelle sa propre mère, sur le coup de 2 heures du matin.
– Je voulais te demander, lui dit-elle, à quel âge, environ, ces affreux moutards laissent leurs parents dormir la nuit ?
– Si j’en juge par ton cas, répond la mère, en bâillant, certainement pas avant vingt-six ans !