blague orchestre

La passion de la musique

– Mon mari, raconte une dame, a une passion : la grande musique. Il dépense tellement d’argent, pour sa chaîne hi-fi, que, lorsqu’il veut écouter une symphonie de Beethoven, je crois que cela lui reviendrait moins cher de faire venir à la maison l’Orchestre philharmonique de Berlin.

Le second violon

– Ah ! non, proteste un homme, furieux d’avoir appris que sa femme le trompe, ne compte pas me faire jouer le second violon !
– Mais, répond sa femme, ironiquement, estime-toi encore heureux de faire partie de l’orchestre…

L’enfant au violon

– Et maintenant, annonce la maîtresse de maison à ses invités, notre fils de quatre ans va vous interpréter, au violon, le Concerto de l’Empereur de Beethoven. Naturellement, pour que cela prenne toute sa valeur, il vous faut imaginer notre petit génie accompagné par quatre-vingts musiciens.

Comment devenir chef d’orchestre

C’est l’histoire d’un chef d’orchestre qui s’appelait Ravelli. Celui-ci avait beaucoup de problèmes avec le percussionniste de la formation : il s’arrêtait à chaque fois pour lui prodiguer conseils et recommandations, mais toutes ces interruptions n’étaient suivies d’aucun résultat probant.

Finalement, devant tout l’orchestre, il lui dit :
« Lorsqu’un musicien n’est pas capable de maîtriser son instrument même après qu’on se soit arrêté plusieurs fois pour lui fournir des conseils d’interprétation, on lui retire son instrument et on lui donne deux baguettes pour qu’il fasse le percussionniste. »

Un murmure émane alors de la section percussion de l’orchestre :
« Et s’il n’est même pas capable de faire ça, on lui retire une des deux baguettes et on en fait un chef d’orchestre. »

La baguette du chef d’orchestre naturiste

Dans un camp de naturistes, un chef d’orchestre, tout nu, dit aux musiciens dans le même appareil :
– Et maintenant, deux mesures pour rien. Surveillez bien ma baguette… Pas avec cette mine gourmande, Mlle Carole ! Jusqu’à la fin de la répétition, ce n’est qu’un instrument de travail !