Lorsque que la femme a un certain âge nous disons qu’elle est à sa ménopause. Chez l’homme nous disions qu’il était rendu à son andropause. Mais maintenant, nous appelons cela chez l’homme le syndrome de l’oignon. Pourquoi ? Parce que la bedaine lui pousse, la queue lui sèche et quand tu le regardes, tu as envie de pleurer.
C’est une petite fille qui regarde son papa prendre son bain. Alors qu’il sort de la baignoire pour prendre une serviette et s’essuyer, la petite fille remarque la poitrine velue de son géniteur et demande : – Dis papa, c’est quoi ça ?
Et le papa répond : – Ça ma petite chérie, c’est ma poitrine. Comme tu peux le voir, elle est couverte de poils.
Ensuite le papa se retourne, et la petite fille est à nouveau intriguée : – Et ça papa, qu’est-ce que c’est ? – Ça c’est mon derrière, ma chérie, on en a un tous les deux, mais le mien est tout poilu.
Enfin, alors qu’il s’apprête à enfiler son caleçon, elle montre du doigt- l’entrejambe du papa et pose à nouveau la question fatidique : – Et ça papa, qu’est-ce que c’est ? – C’est pas tes oignons ! Répond le papa en continuant à s’habiller.
Un peu plus tard, le soir, la petite fille est en train de jouer dans la cuisine lorsque le papa rentre du travail. Du hall d’entrée, il s’adresse à sa femme, et demande : – Je meurs de faim, qu’est-ce qu’on mange ce soir ?
Enervée, l’épouse répond en criant : – C’est pas tes oignons !
A ce moment là, la petite fille secoue la tête dégoûtée et fait « BEUARK ! »
C’est un brave paysan qui est dans son jardin en train de se livrer à un travail très dur : planter les oignons.
Les oignons, si on ne les plante pas bien, pas assez profond, pas au bon endroit, c’est foutu, ils ne prennent pas. Alors le paysan s’applique, très concentré sur son travail.
Et pendant ce temps-là, à la ferme, sa femme est en train de se faire culbuter par le facteur. Elle crie : – Aaaaah ! Oh ouiiiii ! Vas-y ! Pousse ! Enfonce encore ! Plus profond !
Elle crie si fort que le paysan finit par l’entendre et lui dit : – Eh, je sais comment faut faire ! Occupe-toi de ton cul !