blague œnologie

Le vin dévoilé

Le secret pour apprécier un bon vin :

1) Ouvrez la bouteille pour le laisser respirer.

2) Si vous constatez qu’il ne respire pas, pratiquez immédiatement le bouche-à-bouche.

La blague du testeur de vin

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Chez un marchand de vin, l’ancien testeur de vin est décédé et le directeur cherche à le remplacer.

Un ivrogne, à l’allure très sale est venu pour le poste. Le directeur du magasin cherche à s’en débarrasser. Il lui donne un verre de vin. L’ivrogne boit et dit :
– C’est un muscat, trois ans d’âge, provient du nord et a été mûri dans un conteneur en métal. Bas de gamme, mais acceptable.
– D’accord dit le patron.

Il lui donne un autre verre, l’ivrogne le boit et dit :
– C’est un cabernet, huit ans d’âge, provient du sud-ouest, mûri dans un baril en chêne à huit degrés. Demanderait trois autres années pour de meilleurs résultats.
– Exact dit le patron.

Un troisième verre…
– C’est un pinot blanc champagne, très côté et exclusif, dit l’ivrogne calmement.
Le directeur est épaté.

Ce dernier fait un signe à sa secrétaire de suggérer quelque chose d’autre. Elle sort du bureau et revient avec un verre rempli d’urine. L’ivrogne goûte et dit :
– Elle est blonde, 26 ans, enceinte de trois mois et si vous ne me donnez pas le job, je vais donner le nom du père.

Le curé œnologue

Le curé du village était connu pour connaître un large éventail de vins. C’est pourquoi, le soir des fêtes de Pâques, les habitants du village avaient organisé un grand banquet. Comme l’humeur était joviale le restaurateur proposa au curé de démontrer ses talents de sommelier en reconnaissant quelques-uns uns des crûs de sa cave.

Le curé accepta devant l’insistance des convives et on lui attacha un bandeau sur les yeux. On lui présenta un premier verre de vin. Il le sentit de longues secondes et, sans même le goûter, dit :
– C’est un Bordeaux rouge, je dirais un Saint-Émilion 1976…
Le restaurateur confirma et tout le monde applaudit l’authentique exploit.

On présenta au prêtre un second verre de vin. Celui-ci le renifla, réfléchit quelques secondes et déclara, devant l’assistance médusée :
– C’est un Côtes-du-Rhône, je dirais un Châteauneuf-du-Pape 1985…
Le restaurateur acquiesça de nouveau et le curé renouvela la performance une troisième puis une quatrième fois…

Alors que tout le monde commençait à tituber, un petit malin décida alors de jouer un tour au sympathique curé. Il demanda à sa femme de lui donner sa petite culotte qu’il plia soigneusement pour qu’elle tienne dans un verre. Il le présenta alors au curé et dit en rigolant grassement :
– Hé Monsieur le curé, dites-nous voir si vous reconnaissez ce cru-là…

Le curé prit le verre, le sentit et déclara :
– Une rousse, 31 ans, pas de la paroisse…

La qualité des vins voisins

C’est une histoire de vin. C’est un grand oenologue qui est descendu dans le Bordelais pour goûter un petit vin de propriétaire, le Château Château, et il se régale :
– La couleur est belle ! Oui, bel ensoleillement. C’est un vin qui a de la jupe. Je vais goûter ! Ssssslurp… Hummm… Reureureu… Aaaah, il attaque sèchement le palais, il est un peu râpeux ! On l’a bien en bouche. Mouis, il n’y a pas à dire, c’est un très très bon cru: je vous mettrai dix-huit sur vingt !

Pas peu fier, le propriétaire lui dit :
– Je vous remercie ! Tenez, prenez-en quelques caisses. Et puis restez déjeuner !
– Non, non, je n’ai pas fini ma tournée, il faut que j’aille inspecter la vigne de votre voisin !

L’oenologue se rend donc chez le voisin…
– Eh, monsieur l’œnologue ! Content de vous vouér ! Depuis l’matin, je goûte mon pinard pour vérifier. Je suis sûr qu’il vous plaira.
– Voyons voir ça !
– De toute façon, il n’y a point d’raison qu’il soit mauvais. Parce que tout de même, j’ai les mêmes ceps, la même terre et la même orientation que le voisin de chez qui vous venez !
– Ssssslurp… Hummm… Reureureu… Aaaah non, non ! Oh non ! Ce qu’il est acide ! Alors là, mon vieux, je vous mets quatre sur vingt ! Ça ne vaut pas plus !
– Ben quoi ? A lui vous lui mettez dix-huit sur vingt, et à moi seulement quatre sur vingt alors que c’est le même ensoleillement, le même sucre et le même coteau ! C’est dégueulasse !
– Je vais vous expliquer une chose. Vous êtes marié ?
– Bah pour sûr, que ch’ suis marié !
– Alors ce soir, quand vous serez au lit avec votre dame, vous lui mettrez un doigt devant, un autre doigt derrière, vous goûterez et vous verrez la différence : ça n’a pas le même goût et pourtant ils sont voisins !