blague occupation

Une blague à lire impérativement à haute voix

Lisez le texte suivant à haute voix :

Ceci est ceci chat
Ceci est est chat
Ceci est une chat
Ceci est manière chat
Ceci est de chat
Ceci est tenir chat
Ceci est un chat
Ceci est con chat
Ceci est occupé chat
Ceci est pendant chat
Ceci est au chat
Ceci est moins chat
Ceci est 60 chat
Ceci est secondes chat.

Maintenant, vous vous demandez quelle est cette stupidité….. eh bien revenez en arrière et lisez le TROISIÈME mot de chaque ligne à partir du début.

Salutations et sans rancune !

Le fils qui fait une blague au téléphone

blague parents, blague recherche, blague cachette, blague police, blague occupation, blague téléphone, humour noir

Un homme téléphone à son collègue. C’est le jeune fils de trois ans de ce dernier répond :
– Allô (tout bas).
– Bonjour, est-ce que ton papa est là ?
– Voui (tout bas).
– Puis-je lui parler ?
– Non (tout bas).
– Pourquoi ?
– Il est occupé (tout bas).
– Y a-t-il d’autre personne ?
– Voui (tout bas).
– Qui ?
– Ma mère (tout bas).
– Puis-je lui parler ?
– Non (tout bas).
– Pourquoi ?
– Elle est occupée (tout bas).
– Mais y a-t-il d’autres personnes dans la maison ?
– Voui (tout bas).
– Qui ?
– La police (tout bas).
– Mais (énervé) puis-je leur parler ?
– Non (tout bas).
– Mais pourquoi ?
– Ils sont occupés (tout bas).
– Mais que font-ils à la fin ?
– Il me cherchent (très très bas)…

Le cassoulet du père Eugène

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Du temps de l’Occupation, le père Eugène allait de temps en temps à Toulouse vendre un cochon ou un veau et en profitait pour faire quelques emplettes. Un jour, comme il était arrivé à la gare de Toulouse avec une bonne heure d’avance sur le train qui devait le reconduire dans sa campagne, il prit le temps de se taper un cassoulet au buffet. Puis le train entra en gare et l’Eugène monta dans un compartiment où trois officiers allemands avaient déjà pris place.

Le train démarre, et là, le cassoulet commence à lui travailler les tripes : au bout d’un moment, n’y tenant plus, le père Eugène lâche un pet, mais un pet bien bruyant et odorant !

Et pourtant le voyage continue, les passagers affectant de n’avoir rien entendu. Mais l’Eugène, ça le travaille de plus en plus, et le voilà qui en lâche un deuxième. Cette fois, les Allemands ne peuvent retenir une grimace de dégoût.

Et vlan, là-dessus, l’Eugène se laisse aller une troisième fois. Les Allemands n’en peuvent plus : ils se lèvent et sortent du compartiment avec un mouchoir sur le nez. Alors l’Eugène se tourne vers son voisin et lui dit :
– Qu’est-ce que vous voulez ? On peut pas leur dire qu’ils nous emmerdent, mais on peut toujours leur faire sentir !