blague mort
Le bon traitement
– Votre patient se plaint du ventre et vous avez diagnostiqué une amibiase dysentérique à double circonvolution pancréatique et trimus du maxilaire inférieur, dit un professeur de médecine à l’un de ses élèves. Que prescrivez-vous ?
– Euh… Trois comprimés de glucksophétamol matin, midi et soir, et deux cachets de bipermanganate de strofusium toutes les heures…
– Bien, fait simplement le professeur.
L’élève se rassied, réfléchit à sa réponse et, brusquement, se lève et revient voir le professeur.
– Excusez-moi, monsieur, je me suis trompé. Ce n’est pas trois comprimés de glucksophétamol par repas qu’il fallait prescrire, mais un comprimé tous les trois jours !
– Trop tard, mon jeune ami.
– Comment ça, trop tard ?
Le professeur consulte sa montre et laisse tomber sèchement :
– Votre patient est mort depuis trente secondes.
La blague de la mort de Baba

Un délicieux enfant de huit ans à un très joli petit caniche noir qui répond à la douce appellation de « Baba ». Cet enfant éprouve une grande passion pour son animal… Mais, un matin, pendant qu’il est à l’école (pas l’animal, l’enfant), son chiot se fait écraser… La maman est très ennuyée, elle pressent le drame… Le soir l’enfant rentre et sa maman lui explique :
– Tu sais, mon grand, les humains, les animaux viennent au monde dans un chou, dans une rose, tu connais l’histoire de la petite graine… Et puis un jour Dieu décide que c’est la fin et on meurt. Baba est mort ce matin… Nous ne reverrons plus Baba…
Et à son grand étonnement l’enfant ne pleure pas, il dîne de bon appétit en riant tout le temps.
Mais au moment de se coucher, le petit réclame son chien. Et sa maman lui dit :
– Mais, tu n’as pas écouté ce que je t’avais dit : Baba est mort…
Et là, c’est le torrent de larmes…
– J’avais compris que tu avais parlé de papa…