blague Moïse

Le dieu du golf

Jésus et Moïse jouent au golf. Jésus tape dans sa balle qui se pose sur une plante de l’étang voisin. Jésus s’approche, marche sur l’eau et va récupérer sa balle.

Puis c’est Moïse qui frappe. Il envoie lui aussi sa balle dans l’étang. Elle coule au fond. Il lève les mains : les eaux s’écartent et c’est à pied sec qu’il va chercher sa balle.

Arrive un vieil homme à la barbe blanche, il frappe la balle qui tombe sur un rocher, heurte un palmier, rebondit sur la tête d’un chameau, repart vers un mur, descend le long d’un toit puis roule droit vers le trou du parcours et rentre dedans. Et Moïse s’écrit :
– Jésus, c’est la dernière fois que je joue au golf avec ton père.

La blague du vol de Moïse

Le conflit israëlo-palestinien a motivé, une fois de plus, une réunion d’urgence à l’ONU.

La parole est donnée à l’ambassadeur Israëlien :
– Mesdames et messieurs, Avant de commencer mon discours, je voudrais narrer une vieille histoire… Lorsque Moïse conduisait les Hébreux hors d’Égypte, il dut traverser des déserts, et des prairies, et encore des déserts… Son peuple était éreinté et avait besoin d’eau. Alors Moïse frappa la roche d’une montagne de sa canne, et au bord de cette montagne apparut un bassin rempli d’une eau fraîche claire comme le cristal. Le peuple s’en réjouit et tous burent pour leur plus grande satisfaction. Moïse souhaita alors nettoyer son corps ; pour ce faire, il alla à l’autre bout du bassin, enleva tous ses vêtements et plongea dans les eaux fraîches de la mare. Quand Moïse sortit de l’eau, il se rendit compte que ses vêtements avaient été volés…

L’ambassadeur Israélien marque alors une pause, puis il reprend :
– Eh bien, j’ai toutes les raisons de croire que ce sont les Palestiniens qui avaient volé ses vêtements !

L’ambassadeur Palestinien manque de s’étouffer en entendant cette accusation. Il saute alors de son siège et crie :
– C’est un mensonge. Tout le monde sait qu’il n’y avait pas de Palestiniens à cette époque !!!

Alors l’ambassadeur d’Israël reprend :
– Et avec cela à l’esprit, laissez-moi maintenant commencer mon discours…