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Le missionnaire et les impôts

Dans une région encore sauvage du Pacifique, un missionnaire s’efforce de faire comprendre à un indigène pourquoi, dans les pays civilisés, les citoyens doivent payer des impôts.
– Cet argent qu’ils versent au gouvernement leur revient ensuite, sous forme de subventions ou de prêts.

Enfin, le visage du « sauvage » s’éclaira :
– J’ai compris. Vos impôts c’est la même chose que si, pour donner un bon morceau de viande fraîche à mon chien, je lui coupais la queue.

Un chien dont on coupe la peau
Le missionnaire et les impôts

La blague des missionnaires belges

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Deux missionnaires belges sont capturés par une tribu de cannibales.

Les deux missionnaires sont ligotés et placés dans la grande marmite rituelle, que l’on remplit d’eau et de petits légumes. Le feu est allumé, et l’on attend que la cuisson se fasse.

Quelques minutes se passent, puis un des deux missionnaires se met à rire, mais rire… il ne peut plus s’arrêter.

L’autre missionnaire n’en revient pas. Il demande à son copain :
« Mais enfin qu’est-ce que tu as ? Tu ne crois pas que notre situation est suffisamment critique comme ça ? On va être bouillis vivants et ensuite ils vont nous manger ! Franchement, je voudrais bien savoir ce qu’il y a de drôle dans tout ça ? »

L’autre répond :
« Je viens de faire pipi dans leur soupe. »

La conversion des tribus africaines

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Un prêtre catholique était parti convertir des tribus africaines.

Comme il venait de débarquer, il n’était pas encore très bon question dialecte local. Du coup, il s’était payé les services d’un traducteur. Un beau jour, il obtient l’accord du chef de la tribu pour faire son speech devant la tribu au complet. Alors il se place sur la place, il monte sur une grosse pierre pour être bien vu de tous, et il demande à son traducteur de venir se placer à côté de lui.

Le missionnaire commence :
– Si vous le voulez, je vous montrerai comment creuser un trou dans la terre de telle manière que vous pourrez trouver de l’eau pure au fond de ce trou !

La tribu répond :
– Hun-ga-wa !

Le missionnaire continue :
– Je vous montrerai comment capturer des animaux sans pour autant avoir à quitter votre village !
– Hun-ga-wa !

À ce stade, le missionnaire est super heureux de remporter l’adhésion de tous les autochtones à ses idées.

Il poursuit :
– Et ensuite je vous montrerai comment faire la paix avec les autres tribus qui ne cherchent qu’à prendre votre terre et vos femmes.
– HUN-GA-WA !
Cette fois-ci, les villageois ont tellement crié que tous les oiseaux se sont enfuis des arbres alentour.

C’est sur cet encouragement que le prêtre finit son discours. Ensuite, une grande fête est donnée pendant laquelle il y a moultes danses traditionnelles et musique. Plus tard dans l’après-midi, l’interprète vient voir le missionnaire pour lui faire un rapport :
– Notre chef a beaucoup apprécié votre discours. Il aimerait vous emmener dans la savane pour voir de plus près tous les animaux qui vivent sur les terres du village.

Le curé est enthousiaste et heureux d’avoir réussi à impressionner favorablement le chef de la tribu. Il dit au traducteur :
– Dites au chef que je serai très honoré qu’il me fasse une visite guidée.

Alors le chef, le traducteur, le missionnaire et quelques guerriers s’en vont faire le tour des terres de la tribu.

Ils passent donc dans un pâturage dans lequel paissent une centaine d’animaux domestiques : vaches, chèvres et moutons. D’ailleurs, le curé est impressionné de voir tant d’animaux pour une petite tribu.
Au moment où ils s’apprêtent à repartir, le chef de la tribu dit quelque chose à l’oreille du traducteur.

Le curé demande alors au traducteur :
– Qu’a dit le chef ?
– Il a dit de faire attention où vous mettez les pieds, parce que vous avez marché dans le Hun-ga-wa.