blague mendiants

La blague du jugement de l’avocat

blague paradis, blague avocats, blague justice, blague Saint Pierre, blague énumération, blague charité, blague mendiants, humour drôle

C’est un avocat qui se présente à Saint Pierre pour voir un peu si il ne pourrait pas rentrer au Paradis. Saint Pierre prend son dossier et énumère ses pêchés :

1 ) Vous avez défendu une grosse multinationale accusée d’avoir pollué un territoire grand comme l’Islande, alors que vous aviez les preuves que cela avait été fait volontairement.

2 ) Vous avez obtenu l’acquittement pour un tueur en série alors qu’il vous avait avoué avoir égorgé 20 personnes. Et tout ça pour l’argent.

3 ) Vous avez surfacturé systématiquement vos honoraires à tous vos clients.

4 ) Vous avez accusé une femme innocente, et vous l’avez poussée au suicide, uniquement parce qu’il vous fallait un bouc émissaire pour décharger votre client.

Et l’énumération de Saint Pierre se poursuit comme ça pendant quelques minutes.

Finalement, lorsque Saint Pierre en a terminé, l’avocat prend la parole et commence à plaider pour sa défense. Il reconnaît les faits, mais demande l’indulgence de Saint Pierre car il a « aussi su faire preuve de charité… »

Saint Pierre regarde à nouveau dans ses dossiers et dit :
– Ah oui, je vois. En effet, une fois, vous avez donné une pièce à un mendiant. C’est bien ça ?

Le visage de l’avocat prend une expression suffisante et il répond :
– Oui, c’est bien ça.

Saint Pierre se retourne alors vers Gabriel son adjoint aux entrées, et il lui dit :
– Allez ! Donne dix balles à ce gars et dis-lui d’aller en Enfer.

Le mari économe et la femme prodigue

Un mari économe se fâche après sa femme :
– Je ne comprends pas ce qui peut t’inciter à servir un repas copieux à tous les mendiants qui sonnent à notre porte.
– Si tu avais vécu, comme moi, quinze ans avec un homme comme toi, répond-elle, tu saurais quelle joie ce peut être de voir enfin quelqu’un manger sa cuisine sans trouver à redire à tout.

David et le mendiant

Un mendiant interpelle David Glinkstein, qui vient de lui donner un euro :
– Il y a deux ans, vous m’avez filé dix euros et l’an dernier, cinq.
– Il y a deux ans, mon ami, j’étais célibataire, répond l’homme. L’an dernier, je me suis marié et cette année j’ai un enfant.
– Quoi ? Vous vous servez de mon fric pour faire vivre votre famille ?