blague médecins

L’enfer du secret médical

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Ça se passe en Israël. Une petite vieille appelle l’hôpital du Mont Sinaï.
– L’hôpital du Mont Sinaï ? Bonjour. Une de mes amies est hospitalisée chez vous et j’aimerais que l’on me donne des informations sur son état de santé.

La standardiste répond :
– Je vais voir ce que je peux faire pour vous. Quel est le nom de la personne ?
– Elle s’appelle Sarah Finkel. Elle occupe la chambre 302…
– Très bien, je vous mets en communication avec une infirmière de son service.

Après quelques secondes d’attente, c’est une autre voix à l’autre bout de l’appareil :
– Oui bonjour, on me dit que vous désirez avoir des nouvelles d’une personne de notre service, Sarah Finkel, c’est ça ?
– Oui, c’est ça. Je sais bien que vous ne devez pas communiquer d’informations par téléphone, mais Sarah est ma copine et j’ai peur qu’elle ne me dise pas la vérité sur son état. Comme elle n’a plus de famille et que je ne peux pas me déplacer…
– Hmmm… C’est d’accord. Je vais vous faire un petit résumé. Madame Finkel a été admise aujourd’hui après avoir perdu connaissance en pleine rue. Ses premiers examens sont très bons : elle a juste une tension un peu faible. Nous attendons les résultats d’une deuxième série de tests. S’ils sont bons, elle pourra sortir de l’hôpital dès demain.

La vieille dame à l’autre bout du fil exulte :
– Dès demain ?! Mazeltov ! C’est merveilleux ! Comme je suis heureuse d’entendre ça… C’est une excellente nouvelle.

L’infirmière reprend la parole :
– Vous devez vraiment être très proche de Madame Sarah Finkel pour être aussi réjouie ?
– Si je suis proche de Sarah Finkel ? Mais je SUIS Sarah Finkel ! Je vous ai appelé parce que le docteur ne me disait jamais rien !

L’hypertrophie de la prostate

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Un homme va consulter le médecin. Il s’assied dans la salle d’attente du cabinet médical et prend un magazine. À ce moment-là, un de ses amis le rejoint et vient s’asseoir à côté de lui. Il engage la conversation :
– T-t-t-tiens… Beu-beu-bonjour Al-Al-Alfred. Alors t-t-t-tu viens con-con-consulter t-t-t-toi aussi ? Que-que-qu’est-ce qui ta-ta-t-arrives ?

Le gars répond :
– Eh bien, si tu veux tout savoir, j’ai un problème de prostate.
– Un pro-pro-problème de pro-pro-prostate ? Que-que-qu’est-ce que-que-que c’est que ça ?
– Oh ben c’est simple : je pisse comme tu parles.

Parler après l’amour

Un psychanalyste demande à un patient, visiblement perturbé :
– Votre femme vous parle-t-elle lorsqu’elle vient de faire l’amour ?
– Bien sûr, et même beaucoup plus souvent depuis que je lui ai offert un portable. Tenez : pas plus tard qu’hier après-midi, elle m’a appelé depuis le cabinet de son dentiste…

La blague des paillettes du gynéco

A Sydney, Australie, une station radio donne des prix aux gens qui racontent leurs histoires les plus embarrassantes. Celle-ci a gagné le grand prix de 5000 dollars.

« J’avais un rendez-vous ce matin chez le gynéco lorsque je reçus un appel du cabinet l’avançant à 9:30.

J’avais juste le temps de me préparer et de foncer. Comme la plupart des femmes, je fais un petit effort d’hygiène supplémentaire pour ce genre de visite, mais cette fois, je n’avais pas le temps de faire le grand jeu.

Je fonçais dans la salle de bain, attrapais une serviette à côté du lavabo, la trempais et me donnais un petit coup de nettoyage au bon endroit, pour être au moins présentable. Je jetai la serviette dans le panier à linge sale, m’habillais et pris la voiture.

Je fus au rendez-vous juste à temps à quelques minutes près. Connaissant par cœur la procédure, je me mis sur la table, regardai le mur à l’autre bout de la pièce et pensai que j’étais à Paris ou quelque part loin d’ici.

Je fus un peu surprise lorsque le docteur me dit : « Eh bien ! On a fait un petit effort supplémentaire, ce matin ? » mais je ne répondis pas.

Une fois la visite terminée, je rentrai à la maison pour une journée habituelle. Après l’école, pendant que ma fille de six ans jouait, elle m’appela de la salle de bain : « M’man, où est ma serviette ? » Je lui dis d’en prendre une dans l’armoire.

Elle me répondit :
« Non, je veux celle qui était à côté du lavabo. Il y avait toutes mes paillettes dedans. » ».