blague Marseille
La blague des pompiers de Marseille
À Marseille, un gigantesque incendie vient de se déclarer. Aussitôt, le Maire de la ville arrive sur place et constate que les marins pompiers de Marseille ne peuvent pas faire grand-chose devant l’ampleur du sinistre.
La chaleur est telle que les soldats du feu ne peuvent s’approcher du brasier à moins de 100 mètres. C’est catastrophique. Le feu risque de s’étendre à toute la ville, d’autant plus que le Mistral commence à se lever.
Le Maire, devant cette situation, a soudain une idée. Il se tourne vers le commandant des Marins Pompiers de Marseille.
– Commandant, il faut faire appel à la brigade des pompiers de la petite ville voisine d’Aubagne. Je sais qu’il s’agit là de spécialistes. De plus, si ces pompiers arrivent à maîtriser l’incendie, je leur offre un chèque de 10.000 euros.
Aussitôt dit, aussitôt fait. L’officier marseillais contacte par radio les sapeurs-pompiers d’Aubagne.
Trente minutes plus tard, le camion des pompiers d’Aubagne arrive à toute vitesse sur les lieux de la catastrophe et s’arrête à 20 mètres du gigantesque incendie, alors que les pompiers marseillais n’ont pas pu s’approcher à moins de 100 mètres.
Les hommes sautent du camion et, à une vitesse inouïe, arrivent à éteindre le feu en très peu de temps. Ils se présentent devant le Maire de Marseille.
– Je suis très fier de vous, dit le Maire. Je vous remets comme promis un chèque de 10.000 euros. Mais au fait, pouvez- vous me dire ce que vous allez faire de cette belle somme ?
Alors, le chef des pompiers d’Aubagne :
– Nous allons commencer par acheter des freins neufs à ce putain de camion…
La blague du Pitbull marseillais
Deux garçons jouaient au football au parc Borelly, à Marseille, quand l’un d’eux fut attaqué par un pitbull. L’autre eut le réflexe d’arracher une planche de la clôture proche et de l’abattre sur le chien, lui brisant la nuque.
Un journaliste qui passait par-là se précipita pour interviewer le garçon. Il commence par noter :
« Un jeune supporter de l’OM sauve son ami d’une mort sanglante. »
Le garçon remarque alors :
– Mais, je suis pas un supporter de l’OM…
– Mais tu es pour quelle équipe alors ? Demande le reporter surpris.
– Je suis pour le PSG ! Répond le garçon.
Le reporter barre la ligne déjà écrite et recommence son article :
« Un jeune voyou assassine froidement le compagnon à quatre pattes d’une honnête famille marseillaise. »