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L’avocat et les requins

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Lors d’un naufrage d’un bateau, 3 personnes se trouvent coincées sur le bateau qui coule, le canot de sauvetage se trouvant à 20 mètres.

Ce sont un maître-nageur, un océanologue et un avocat Le problème est que la mer est infestée de requins et que nager jusqu’au canot va être très risqué !

Le maître-nageur dit alors :
« Bon et ben j’essaie. Je nage vite, je devrais m’en tirer ! »
Il plonge et avant qu’il n’ait atteint le canot, il se fait bouffer par les requins.

L’océanologue dit :
« J’essaie aussi : Je connais bien les requins, il suffit de ne pas avoir peur. »
Il plonge et se fait également dévorer.

Enfin, l’avocat décide de plonger. Il nage sans problème jusqu’au canot de sauvetage.

Une fois à bord, les autres rescapés déjà présents sur le canot lui demandent pourquoi les requins ne l’ont pas bouffé, et il répond :
« Courtoisie professionnelle. »

Le Parisien qui pue des pieds

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C’est l’histoire d’un parisien qui pue des pieds, à qui le médecin a conseillé de faire des bains de pieds d’eau de la Mer du Nord deux fois par jours.

Notre parisien arrive donc à Dunkerque et se rend tôt le matin sur la plage avec une bassine. Il s’approche d’un maître-nageur sur sa chaise et lui demande si il peut remplir sa bassine avec de l’eau de mer.

Le maître-nageur acquiesce d’un signe de la tête. Une fois fait, le Parisien s’approche du maître-nageur à nouveau pour lui demander combien il doit payer. Le maître-nageur qui en a vu d’autres et qui sait que discuter avec un Parisien ne sert à rien, lui demande 2 euros.

Le soir, notre Parisien de revenir et de demander l’accord du maître-nageur pour remplir sa bassine. Celui-ci accepte bien sûr.

Mais comme c’est marée basse, notre Parisien met un certain temps avant de revenir chez le maître-nageur pour lui demander combien il doit payer.

« Même quantité, même prix » répond le maître nageur qui n’a vraiment pas envie de discuter.

Notre Parisien paie, mais avant de partir, il se retourne vers le maître nageur et dit :
« Dites, c’est fou ce que vous avez bien vendu aujourd’hui ! »