blague mains

Love au-dessus d’un nid de concons

dessin humoristique de Nadine Morano avec une main au cul
12 janvier 2018 – Love au-dessus d’un nid de concons

Etre sexuellement « opportunée* » ne dérange pas Nadine.
Nadine Morano : « Une main au cul peut être le début d’une belle histoire… »
(* : En Morano dans le texte)
(Caricature Nadine Morano et Dominique Strauss-Kahn – Dessin du 12 janvier 2018)

Le conducteur marié

Il est facile de savoir si un homme est marié. Observez-le en train de conduire, une femme assise à côté de lui. Si ses deux mains sont sur le volant, c’est qu’il est marié. Soyez en convaincu.

La blague des mains en l’air

C’est un monsieur qui rentre dans un café et il est très curieux parce qu’il a les deux mains en l’air, vous savez, exactement comme si on lui braquait un canon de revolver dans le dos ; mais en réalité, personne ne le braque, il a les deux mains en l’air comme ça, on ne sait pas pourquoi. Il entre dans le café et il dit :
– Bonjour monsieur, je voudrais, heu, je voudrais un café.

Et il a toujours les mains en l’air, comme ça. Alors le patron se dit : « il est bizarre, celui-là, il est bizarre ! »

Il lui sert le café et le gars qui a les mains en l’air lui demande :
– Vous pourriez me mettre le sucre dans le café, s’il vous plaît, parce que moi, je ne peux pas, j’ai les mains en l’air…
– Oui, bien sûr, monsieur.

Et le patron se dit : « Peut-être bien qu’il a une infirmité ».

Tout à coup l’autre lui demande :
– Vous pouvez me le touiller parce que moi je ne peux pas, regardez mes mains…
– Oui bien sûr, je vais vous le touiller, monsieur.

Et il se dit : « Mais qu’est-ce qu’il a ? Il doit être malade. »

Puis le gars lui fait :
– Vous pouvez me le faire boire, s’il vous plaît, parce que vous savez, moi…
– Mais bien sûr, monsieur, je vais.., ne vous dérangez pas.

Alors le patron prend la tasse et fait boire le client qui lui dit :
– Je vous remercie. Je voudrais vous demander un autre truc, mais je suis très gêné, j’aurais besoin d’aller aux toilettes, si vous pouviez…

Le patron lui répond :
– Oui, oui, mais bien sûr, je vais vous accompagnez, monsieur.

Ils arrivent aux toilettes, et le client :
– Ça ne vous dérange pas de me dégrafer mon pantalon, parce que…

Et il a toujours les mains en l’air. Le patron se dit qu’il doit être vraiment handicapé, et il accepte.
– Bon, je vous remercie, ça ne vous dérange pas non plus de me… et de m’aider à, enfin, vous me sortez…
– Oui, oui ! Mais bien sûr, monsieur.

Le patron se dit : « Il doit être infirme, quoi, c’est ça. ». Il aide le client…ça se passe bien.

Et l’autre dit :
– Vous pouvez me refermer ma…

A la fin, le patron n’y tient plus :
– Mais qu’est-ce que vous avez à avoir les mains en l’air comme ça, vous êtes malade, c’est une infirmité ?

L’autre répond :
– Non, non, pas du tout. Mais moi, toucher ces trucs-là, ça me dégoûte !