blague Lord

Le Lord cambriolé

Un lord très vieille Angleterre dort paisiblement dans sa chambre lorsque son valet vient le réveiller au milieu de la nuit.
– My lord, quelqu’un vient de s’introduire en bas.

Le lord s’éveille, bâille tranquillement et interroge :
– Vous êtes sûr ?
– Parfaitement, my lord.
– Des voleurs ?
– Je le pense, my lord.
– C’est très bien.

Le lord réfléchit quelques secondes et dit :
– Passez-moi mon pistolet et mon complet de tweed gris.

Les oreilles du garde-chasse

Ce Lord écossais a offert à son garde-chasse une casquette de fourrure très épaisse qui lui couvre les oreilles et qui lui tient très chaud. Le garde-chasse le remercie d’autant plus que c’est l’hiver et que c’est bien la première fois que son patron lui fait un cadeau. Quelques jours plus tard, le Lord revient de ses vacances à la neige et remarque que le garde-chasse ne porte plus la casquette. Il lui demande surpris :
– Alors, ma casquette ne vous plaît plus ?
– Si monsieur, bien au contraire !
– Et alors ?
– Eh bien, monsieur, mon voisin a voulu m’inviter chez lui l’autre jour pour boire un whisky et avec la casquette sur les oreilles, je n’ai rien entendu !

La pisse du Lord

Au début du dix-neuvième siècle, un lord anglais descend de voiture à Paris et pisse par-dessus un pont. Un agent de police arrive et lui dit :
– Monsieur, c’est interdit : je vous colle une amende de 25 francs !

Mais le lord n’a que 50 francs en petite monnaie… Il dit à son cocher :
– Descendez et pissez aussi par-dessus le pont pour 25 francs !

Le deuil du martini

À son club, lord MacIntosh s’apprête à prendre son martini lorsque le majordome l’interrompt :
– Sir, on vient de m’apprendre le décès de lady MacIntosh.

Alors lord MacIntosh repose son martini et dit :
– James, veuillez enlever l’olive verte et la remplacer par une noire.

La folie des Lords

Un lord avait un valet de chambre particulièrement impertinent. Un jour, cet homme l’ayant une fois de plus mis en colère, il éclate :
– Ce n’est pas possible ! L’un de nous deux doit être fou !
– Connaissant monsieur comme je le connais, répliqua l’autre, je suis sûr qu’il ne prendrait jamais un fou à son service.