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Cousin-cousine dans le même lit

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C’est l’hiver dans les Alpes. Une véritable tempête de neige a forcé deux cousins (un garçon et une fille) à passer la nuit dans le même lit.

Les voilà qui se couchent.

La fille trouve son cousin plutôt bien fait, et comme elle est assez délurée, elle lui dit :
– Ce côté du lit ne me convient pas. Tu veux bien me laisser l’autre côté ? Tu n’a qu’à me passer par dessus pendant que je glisse par dessous…

Mais son cousin lui répond :
– Non, ça va aller…
et le cousin sort du lit, se lève, et va se coucher de l’autre côté.

Maintenant, la cousine est encore plus en rut qu’avant et elle dit :
– Finalement, ce côté du lit ne me convient pas plus. Pourquoi est-ce que tu ne me PASSERAIS pas PAR DESSUS pendant que je glisserai de l’autre côté ?

Mais le cousin répond encore :
– Non, ça va aller, je vais faire le tour…
et le cousin sort du lit, se lève, et va se coucher de l’autre côté.

Alors la fille qui n’en peut plus lui dit :
– Ah, c’est pas vrai ça ! Tu ne comprends donc pas ce que je veux ?!

Et le cousin répond :
– Bien sûr que si j’ai compris ! Tu veux ce putain de lit pour toi toute seule, mais n’y compte pas !

La cuillère à sauce de la bonne du curé

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C’est un jeune curé qui est invité à dîner par le curé du canton voisin qui est un peu plus vieux que lui. Pendant le dîner, le jeune curé remarque comment la bonne du curé est vraiment charmante et bien faite de sa personne.

Naturellement, le jeune curé ne peut pas s’empêcher de se demander si il n’existe pas une relation, du genre de celle que l’église réprouve, entre le curé d’âge mûr et la bonne.

Pendant le repas, le jeune curé fait quelques sous-entendus à ce sujet, ce qui fait qu’à la fin du repas, le curé d’âge mûr lui assure que la bonne ne s’occupe que du ménage et des repas, et c’est tout !…

Une semaine plus tard, alors qu’elle sert le repas, la bonne dit au curé d’âge mûr :
– Mon Père, depuis que le jeune prêtre est venu dîner, je n’arrive plus à mettre la main sur votre magnifique cuiller à sauce. Vous ne pensez pas qu’il aurait pu l’emporter avec lui, quand même ?

Le curé d’âge mûr lui répond :
– Oh j’en doute. Mais je vais quand même lui écrire une lettre à ce sujet.

Alors le curé d’âge mûr écrit une lettre qui dit :
« Mon cher Frère, je ne dis pas que vous n’avez pas pris la cuiller à sauce, et je ne dis pas non plus que vous avez pris cette cuiller à sauce. Mais il y a une chose de sûre : cette cuiller a disparu depuis que vous êtes venus dîner. »

Trois jours plus tard, le curé d’âge mûr reçoit une lettre du jeune curé :
« Mon cher Frère, je ne dis pas que vous couchez avec votre bonne, et je ne dis pas non plus que vous ne couchez pas avec. Mais une chose est sûre : Si vous couchiez dans votre propre lit, vous auriez déjà retrouvé votre cuiller à sauce. »