Une mère à son petit garçon :
– Tu as été bien sage cet après-midi. Qu’as-tu fait ?
– J’ai joué au facteur.
– Ah ! Et en quoi cela consiste-t-il ?
Le petit garçon explique :
– Eh bien, j’ai mis des lettres dans toutes les boîtes de la rue.
– Mais où les as-tu trouvées ?
– Dans ta commode, elles étaient entourées d’une faveur rose.
– Mon mari ne m’aime plus comme avant, soupire une pauvre femme.
– Qu’est-ce qui vous fait penser cela ?
– Autrefois, il grinçait des dents et menaçait de s’étouffer de fureur uniquement quand il lisait dans son journal les nouvelles de politique intérieure. Or, hier, j’ai constaté, chez lui, les mêmes symptômes, alors qu’il s’était mis à relire, par hasard, les lettres d’amour qu’il m’adressait lorsque nous étions fiancés.
Valéry Giscard d’Estaing : « Ben et moi alors ? Personne veut les publier, mes lettres d’amour à Lady Diana, Victoria de Suède, Margaret Thatcher, Ingrid de Norvège, Angela Merkel, Stéphanie de Monaco et Princesse Mononoké ? »
(Caricature Valéry Giscard d’Estaing – Dessin du 11 octobre 2016)
Mazarine donne son accord pour la publication des lettres torrides de Mitterrand.
Mazarine Pingeot : « « Je te prends, je te retourne, tu vas le sentir mon gros… » Non pas celle-là : elle était pour Giscard. »
(Caricature Mazarine Pingeot – Dessin du 9 octobre 2016)
